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les rebelles musulman ont envoyer chier leur imam

Publié : avr. 28, 17 5:58 pm
par Tchacoto
Le poker-menteur de Boikary Fofana en Côte-d’Ivoire: Il accepte aujourd’hui ce qu’il refusait de faire hier (autorité bafouée)
Mis en ligne par La Rédaction | vendredi 28 Avr 2017



Par Connectionivoirienne

Mission de bons offices à Bouaké –

Entre janvier et février 2017, l’Etat de Côte d’Ivoire, en toute responsabilité prenait des engagements avec les soldats mutins qui réclamaient des primes et autres avantages pour services rendus au pouvoir actuel.

12 millions de FCFA à chaque soldat dont 5 millions payés cash et les 7 autres échelonnés sur 7 mois.

En avril, cela va faire trois mois que le million de FCFA censé être versé à chaque soldat par mois n’est pas viré au grand dam des anciens rebelles reversés dans l’armée nationale.

Cette situation crispe à nouveau la relation de bonne entente entre le pouvoir et ses chouchous qui n’en peuvent plus d’attendre plus longtemps. C’est dans cette atmosphère lourde et dans un contexte de tension de trésorerie qu’une délégation d’imams ivoiriens est arrivée à Bouaké pour une mission de bons offices. Celle-ci n’a pas atteint les objectifs escomptés et les imams sont rentrés sans convaincre les militaires à redoubler de patience, le temps que le pays qui organise les jeux de la francophonie finisse avec cet événement. Si l’on en croit les différents articles de presse sur cette mission de Bouaké, l’imam Boikary Fofana, autorité religieuse qui a fini par s’imposer comme seul leader de la communauté musulmane de Côte d’Ivoire, et les ex-mutins se sont quittés en queue de poisson sans accord minimum. Hormis la seule volonté des soldats de ne rien faire pour l’instant qui perturbe les activités du gouvernement.

Selon un correspondant de presse sur place à Bouaké que Connectionivoirienne a pu joindre, la délégation de l’imam qui est arrivée à Bouaké dimanche 23 avril 2017 à Bouaké avec gyrophares et sirène a pu s’entretenir lundi avec les soldats à la mosquée de Dougouba à Bouaké. Cette réunion qui a achoppé sur le délai du paiement des primes, devait avoir un deuxième round mardi. En vain, l’imam et sa délégation ont attendu les soldats qui n’ont pas daigné honorer le rendez-vous, toujours selon ce correspondant local.



Boikary Fofana décide donc de regagner Abidjan mercredi, son autorité bafouée et son honneur entaché.

La question qui se pose n’est pas tellement cet échec de l’imam dans sa volonté de prévenir une autre déflagration après ce que les populations de Bouaké ont connu en tout début d’année.

La question c’est, pourquoi l’Etat de Côte d’Ivoire tente-t-il de se cacher derrière un religieux fut-il un leader bien écouté au sein de la communauté musulmane de Côte d’Ivoire ? Il y a là un amalgame entre les affaires de la République et les affaires religieuses. Depuis quand ce pouvoir est-il devenu attentif à la démarche des leaders religieux qui, à plusieurs occasions, ont demandé à Alassane Ouattara de normaliser la situation sociale en Côte d’Ivoire en accédant à certaines de leurs doléances, notamment la libération des prisonniers politiques, des actes forts en faveur de la réconciliation nationale et bien d’autres ? Que ce soit les guides religieux musulmans, que ce soit les guides chrétiens, tous n’ont de cesse d’appeler à une décrispation. Le pouvoir y a toujours répondu par le mépris ou par une fin de non-recevoir.

Voici aujourd’hui l’Etat de Côte d’Ivoire qui instrumentalise les guides religieux musulmans dans une affaire où, de prime abord, ils ne sont partie prenante et dans un rôle qui n’est pas le leur. Que peut leur autorité morale et spirituelle dans une affaire où il faut décaisser des milliards de FCFA ?

Hier, en pleine division du pays coupé en deux par une rébellion, ces mêmes guides avaient pourtant décidé d’opter pour l’indifférence s’ils n’épousaient, pour certains, la cause de la rébellion. En ce moment-là, ils ignoraient peut-être de bonne foi, que leur autorité pouvait jouer en faveur d’un apaisement et d’un rapprochement des Ivoiriens. Les voici dans un rôle qu’ils n’avaient pas voulu jouer en dépit d’une situation dans laquelle leur voix pouvait compter. Sans le deviner d’avance, Boikary Fofana et les siens se sont embourbés dans un pétrin en acceptant de se prêter à ce jeu du pouvoir qui tente de gagner du temps dans un dossier qu’il aurait dû négocier autrement que de vite céder au chantage de ses enfants gâtés.

SD à Abidjan

Publié : avr. 28, 17 6:02 pm
par Tchacoto
l'imam boikari va interceder aupres de leur Dieu pour qu'ils (les rebelles muslim) n'aient pas droit a leur 78 vierges chacun. waoouw ils ont chaud.

Publié : avr. 28, 17 6:07 pm
par Tchacoto
haaaa ca, ils vont se taper des besser de guerre dans l'au delà looooooooooooooool

Publié : avr. 29, 17 6:33 am
par Eburneenne 3
Boikary Fofana : serviteur de DIEU ou de satan???

Le serviteur de DIEU, le vrai, c'est celui qui se dévoue à aimer son prochain, a faire Sa Volonte, et surtout a une haine viscerale pour l'injustice et evite de se laisser prendre au piege du dieu argent (mammon).

Or, étant des contemporains de sieur Boikary, les Ivoiriens ont intégré avoir souffert de 2002 au 11 avril 2011, des méfaits d'une rébellion ravageuse, ayant formé un mortifère kyste dans cette même ville de Bouake où défile, depuis un certain temps, ce Boikary Fofana, au détriment de sa mosquée.

Mais, combien de fois cet homme avait-il cru devoir se rendre dans cette ville de Bouaké où Soro et les siens s'étaient illégalement établis, pour leur demander de laisser la République de Côte d'Ivoire exister ???

Dans tous les cas, un vrai homme de DIEU ne se serait jamais déplacé. En tant que'oint de l'Eternel, il lui aurait suffi, tout simplement, deconvoquerles "âmes en perdition", et elles auraient prestement defere. Cet homme est vraiment un guide religieux, tout sauf un homme de DIEU.Il est méchant,haineux et cupide. Il a divisé leur communauté musulmane avec sa jalousie, de nombreux imams en ont fait les frais.

En plus, lui qui a soutenu partout que le nord etait délaissé n'a même pas une maison à Tchèkorodougou son village à
Séguélon. Quand il y va c'est pour squatter celle de son petit frère modeste fonctinnaire. Il est donc clair que c'est une histoire entre les militants de la violence primaire, le rassemblement des rates (rdr).

C'est donc entre eux!!!https://www.facebook.com/plugins/post.p ... ;width=500" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" width="500" height="553" frameborder="0">

Publié : mai 01, 17 3:45 am
par Eburneenne 3
QUI CONNAIT BIEN CHEICK BOIKARY FOFANA???

Boikary Fofana est militant du rassemblement des rates (rdr) et a longtemps été et demeure le guide de la branche mystique de la rebellion du 19 septembre 2002 via le conseil islamique des imams (cosim). Ce n'est pas seulement parce qu'il se retrouva au golf hotel avec DAO rebelle 1er volmentu, ce n'est pas non plus  parce qu'il ne fit rien pour négocier avec leurs rebelles pour les convaincre de déposer les armes et cesser de tuer de paisibles ivoiriens. Non, ce n'est pas cela!!! Encore moins parce qu'il tenta de dissuader leurs rebelles de Bouaké qui reclament leurs 7 millions de se soulever à nouveau, non, ce n'est pas à cause de tout  cela qu'il est chef de guerre et complice de la rebellion.En vérité, en vérité,  lors de la crise post-électorale, dans un bureau d'une mosquée d'Abobo, des envoyés sont venus rencontrer des imams pour y faire le plan d'attaque contre les Ivoiriens et les FDS. Or, vous savez qu'il nexiste pas un seul imam qui ne soit pas membre du cosim et qui le dirige???  C'est bel et bien Boikary Fofana.
Ne controlait-il pas ses imams??? Pourquoi n'a-t-il pas ordonné à ses imams de ne pas céder les mosquées comme des lieux de réunions pour planifier des coups tordus en vue de faire couler le sang de paisibles ivoiriens??? Voici l'un des co- auteurs directs machin cpi.https://www.facebook.com/plugins/video. ... ;width=400" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" allowfullscreen="true" width="400" height="400" frameborder="0">

Publié : mai 07, 17 5:55 am
par Eburneenne 3
Récit d'un imam sur la rencontre avec les rebelles mutins à Bouaké.

A l'arrivee: Dès notre arrivé à Bouaké, le comité d'accueil murmurait: J'espère qu'ils sont venu avec notre jéton. On a demandé à ce que leurs responsables viennent pour les négociations et ils ont rétorqué que c'est nous qui devrions chercher à les rencontrer car c'est à eux qu'on venu demander pardon.

PENDANT LES NÉGOCIATIONS : Les mutins ont demandé ou est leur argent et que si c'est pour parler seulement c'est pas la peine. On a répondu qu'ils baissent un peu le ton car nous somme quand même leur papa et aussi guide religieux. Ils ont répondu qu'actuellement, eux ils s'en foutent d'iman ou papa ; c'est leurs jetons ils veulent. Francophonie sa mère, faut pas il va envoyer notre blé, on va gâter pays-la.

LES À CÔTÉS: Nous avons vu que les mutins ont enlevé les balles des revolvers et ils les ont plongé dans les eau qui servait à faire leurs thé. Et ils nous ont dit: façon on boit l'eau de cartouche c'est comme sa on n'a plus peur de mourir; on est vacciné.

CONCLUSION: on s'est séparés en queue de poisson. Ils disent l'argent ou rien.