Reponse à webmaster:
je suis foncierement contre les assaillants du 18 Septembre 2002
Rien, strictement rien, ni personne ne peut prouver que les assaillants de 2002 étaient envoyés, financés ou aidés ni par Ouattara ni par la France.
Des anciens miltaires de Guei, repudies par celui-ci, etaient frustres et ont accepte des offres d'une societe sud africaine, elle meme financee par des spéculateurs dans les matieres premieres, qui auraient investi 50 millions de us dollars en armes, vehicules, instructeurs, argent. Ces militaires, refugies a cette epoque au Burkina, devaient entamer une serie d'attaques simultanees qui devaient faire grimper les cours cafe-cacao. Les attaques n'ont pas toutes reussi mais les cours ont grimpe et ces speculateurs auraient realise un benefice de 800 millions usd.
Il est possible, ou evident, que Ouattara, frustre d'elections presidentielles a cause de Gbagbo et son concept d'ivoirite, invente par LG quand Houphouet a donne le droit de vote aux etrangers. Etrangers qui venaient, forcement, du nord du pays. Ces soldats, se sentant bien incapables de se coordonner ont fait appel a d'autres ivoiriens frutres tels que Soro et les autres, degoutes de Gbagbo.
Donc :
Tous les anti-Gbagbo ne sont pas des rebelles, ni des pro Ouattara.
Tous les anti-Ouattara ne sont pas pro Gbagbo.
La France, dans les premiers jours de la rebellion, a aide les FANCI, à la demande expresse de Gbagbo. Cette aide a consiste en carburant, vehicules, munitions, instructeurs et, surtout, renseignements et moyens d'ecoute.
Gbagbo n'a pas oublie que la France a subitement arrete son aide probablement lorsu'ils se sont rendu compte que les attaques ne provenaient pas de l'exterieur, condition de l'application des fameux accords de defense.
Gbagbo garde une rancune tenace et c'est cette rancune, et la demagogie, qui l'a incite a montrer du doigt les français comme responsables de la situation.