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Le crocodile du botswanga

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Le crocodile du botswanga

Message par Beauté Nubienne » févr. 14, 14 7:33 pm

"Le crocodile du Botswanga" : un ramassis de clichés sur l'Afrique, loin d'être inoffensif



Publié le 09-02-2014 à 09h46 - Modifié à 11h38

Par Patrick Lozès
Militant associatif

LE PLUS. La bande-annonce donne clairement le ton : un dictateur sanguinaire, un accent à couper au couteau, des responsables d'État naïfs... "Le crocodile du Botswanga" se déroule bien en Afrique. Faut-il s'indigner ? L'alignement de ces stéréotypes nauséabonds a fait réagir Patrick Lozès, co-fondateur du Cran.

Édité par Louise Pothier Auteur parrainé par Aude Baron

Image

Affiche du film "Le crocodile du Botswanga" avec Thomas Ngijol et Fabrice Éboué. (Mars Distribution)

Parmi les arts, la poésie et le cinéma permettent de toucher rapidement un public nombreux.

Ceux qui font profession de nous instruire ou de nous divertir par le biais de ces arts doivent donc être particulièrement vigilants sur ce qu’ils contribuent à véhiculer car toute négligence en la matière a des conséquences démultipliées.

Le film "Le crocodile du Botswanga" ne sortira sur les écrans que le 19 février 2014 mais il fait déjà grincer les dents. Réalisé par le duo Fabrice Eboué et Lionel Steketee, on y retrouve Thomas Ngijol, Fabrice Eboué, Ibrahim Koma et Claudia Tagbo.

Les auteurs de cette comédie ont-ils été négligents ? Le moins que l’on puisse dire est que la bande annonce et le "teaser" du film ne font pas dans la dentelle.

En quelques secondes, c'est un épais ramassis des clichés les plus éculés sur l’Afrique et les Africains qui défile : Africains naïfs et au sourire niais, accents à couper au couteau, homophobie, corruption, président analphabète, sanguinaire... Tout y passe. Les Africains apparaissent tellement idiots qu’ils font d’une chanson de salle de garde… leur hymne national !

Des stéréotypes renforcés

On pourrait penser qu’il ne s’agit que d’une farce potache et qu’enfiler des clichés comme des perles est au pire inoffensif. Erreur. Cette bande-annonce qui propose sans distance des clichés à gogo, risque de renforcer des stéréotypes déjà nombreux dans lesquels l’Afrique et les Africains ont été embourbés pendant des siècles et dont ils ont le plus grand mal à se défaire.

Comment se forge, se fige le stéréotype ? (étymologiquement stéréo veut dire solide). Quand se cristallise-t-il? Par la vieille bonne conscience pardi ! Et avec l’air de ne pas y toucher. Quant aux modes de transmission, ils sont multiples. Les supports de communication modernes en constituent aujourd'hui les vecteurs les plus puissants.

La télévision avait fait son miel des représentations erronées mais efficaces de l’Afrique et des Africains… Rarement du positif, rarement de reportages sur les réussites. Longtemps il n’y était guère question d’eux que pour évoquer les violences dans les banlieues, le trafic de drogue et l’immigration clandestine.

L'image donnée des Africains sur tous les écrans est largement négative : grands enfants, massacres interethniques, corruption d’État. Ce sont exactement les mêmes antiennes que l’on retrouve dans la bande-annonce du "Crocodile du Botswanga".

Une catégorisation facile... et brutale

Si vous vous demandiez comment et pourquoi les stéréotypes les plus éculés continuaient de servir de pitance aux paresseux toujours prêts à flatter les instincts les plus vils des spectateurs, ne cherchez plus.

Rappelons-le, l’objectif du stéréotype est de piéger l’autre dans une identité péjorée. Cette catégorisation simpliste se révèle redoutablement efficace. Il s’agit d’une étiquette que tous les individus du groupe ostracisé devront endosser.

En se laissant aller à la facilité, les auteurs du "Crocodile du Botswanga" disent avec brutalité que nous n’en avons pas fini avec les stéréotypes sur l’Afrique et sur les Africains.

À l’heure de "12 Years a Slave", le drame historique américano-britannique réalisé par Steve McQueen, on reste interloqué de voir où nous en sommes encore dans notre pays.
Dernière modification par Beauté Nubienne le févr. 15, 14 6:08 am, modifié 1 fois.
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Re:Le crocodile du botswanga

Message par Tipa » févr. 14, 14 9:50 pm

J'attends avec impatience la sortie de ce film pour juger sur pièce. Si tous les dirigeants africains ne ressemblent pas au personnage incarné par Thomas Njidjol, j'avoue que je ne peux m'empêcher de penser, en le voyant, aux préfets installés par la France pour nous gouverner (Compaoré, Bokassa, Bozizé, Eyadéma, Houphuet, dramane...). J'ajoute Idriss Debi que je viens d'écouter au sujet de Bangui.
Dernière modification par Tipa le févr. 14, 14 10:09 pm, modifié 1 fois.
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Re:Le crocodile du botswanga

Message par Beauté Nubienne » févr. 15, 14 6:52 am

C'est vraiment un dépotoir de clichés négrophobes et de stéréotypes nauséabonds ! !

Quant à ces deux minables-là, Thomas Ngijol et Fabrice Eboué tant que les blancs ne leur font pas jouer ces rôles contre-nature, ils n'existent pas en tant qu'acteur !

PS. Ce ne sont pas les Africains qui mettent au pouvoir ces génocidaires analphabètes de alassane ouatara, Idriss Déby, Bongo, Mobutu, Eyadéma, Hippolyte Kananbé (Kabila), Djodjota, Sassou Nguesso, paul kagamé, le dj de Madagascar... etc etc...... à leur grand détriment !

La france négrophobe aime bien jouer son rôle de pyromane et pompier... après avoir commis des blasphèmes et sacrilèges !
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Re:Le crocodile du botswanga

Message par Beauté Nubienne » févr. 15, 14 7:04 am

http://jamimi.skyrock.com/3009311959-Ca ... rance.html

Case Départ.... Quand Thomas Ngijol et Felix Eboue font rire la France


Il est vrai que le coup médiatique est fort, avec ce film nos deux comédiens sont assurés de remplir les salles. Quelles sont les blagues qui font le plus rire les occidentaux ? Les blagues sur les noirs! Et rien de mieux qu'un noir qui se moque de lui même.

Quelle est la réelle l'intention des producteurs de ce film ? On le saura peut-être plus tard, peut-être jamais.

Toutefois, force est de constater que dans les productions française, en général, il n'est point question de faire l'éloge de la nation noire, elle est toujours présentée dans ses clichés, et ce, pour les maintenir.

Les mêmes médias qui les dénoncent les véhiculent.

Et c'est avec soin que l'on sélectionne les images à diffuser, une vraie stratégie de communication, un moyen plus qu'efficace pour asservir !

Et ceux qui veulent renverser la tendance ont toujours rencontré des obstacles.

On se souvient encore du film "Africa Paradis", film réalisé par Sylvestre Amoussou, dans lequel, pour une fois, les rôles étaient inversés; eh oui! cette fois-ci c'étaient les étaient blancs qui voulaient à tout prix immigrer et rejoindre l'Afrique prospère.

Ce film a du faire à face à plusieurs obstacles avant de passer dans quelques salles de cinéma français. En effet, les grands circuits de distribution, sans doute gênés par le sujet, n'acceptaient pas de le programmer dans leurs salles; seuls quelques cinémas indépendants étaient prêts à le projeter.

Certes on peut profiter de son statut de comédien pour dépeindre une situation tragique, cependant tout reste dans la façon et la manière. Quel message souhaite-t-on véhiculer ?

Dans un film, non seulement le fond mais la forme aussi comptent. Et la forme peut en dire beaucoup sur le fond. Sans avoir vu le film, il est certes difficile d'en faire une critique objective, la bande annonce n'étant pas suffisante.

Toutefois, le titre en dit déjà beaucoup sur cette production: « CASE DEPART » comme si tout avait commencé par là, comme si l'histoire de l'Afrique et des africains commençait avec l'esclavage.

Ce film fait un retour sur le passé, donc sur l'histoire, de ce fait, il restera inscrit dans les mémoires de ceux qui ne connaissent pas les faits historiques réels.

Certainement ceux qui l'auront suivi garderons cette image, et on rira à pleine dents de nos ancêtres dans les salles de cinéma cet été. C'est ça qui plait aux médias, ça va dans le sens de la stratégie de communication, et ça rapporte !

pourquoi ne parle-t-on pas de notre histoire qui est méconnue ? Celle pour laquelle Cheikh Anta Diop à l'époque et Jean Philippe Omotunde aujourd'hui, ont toujours milité à faire connaître au grand public ? Pourquoi ne pas parler des pharaons noirs, de cette époque glorieuse pour l'Afrique? D'ailleurs une comédie, avec le talent des acteurs que sont Thomas Ngijol et Fabrice Eboue serait le meilleur moyen de parler de ces choses dont on ne parle jamais.

Enfin bref, le constat est amer, le noir préfère rire de son passé tragique au lieu de faire connaître son passé glorieux. Il rit des souffrances encore visibles à ce jour et méconnait sa période de gloire. Aujourd'hui je vois deux esclaves rire de leur état devant celui qui tient encore le fouet !

L'histoire de l'esclavage est encore vivace aujourd'hui, la domination sur le peuple africain est toujours d'actualité, l'Occident nous impose toujours ses choix, même sur notre propre continent.

Il continue à piller, tuer, violer, fouetter l'Africain sur son propre territoire. En d'autres termes, une autre forme d'esclavage et de colonisation continue.

Les désastres causés en Cote d'Ivoire et au Congo, pour ne parler que de ceux là, sont encore visibles.

Quoiqu'il en soit, le film de Thomas et Fabrice aura le succès qu'ils attendent, mais quand est-il de l'image de l'homme noir... ?



Image
Dernière modification par Beauté Nubienne le févr. 15, 14 7:41 am, modifié 2 fois.
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Re:Le crocodile du botswanga

Message par Gad » févr. 15, 14 12:30 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Beauté Nubienne</b>:</font>
Ces deux comédiens, humoristes avant tout, font ce qu'ils savent faire le mieux, faire rire. Cependant il n'est pas interdit de se poser certaines questions, ce que tu fais si bien, Beauté. Leur insistance à dépeindre l'Afrique comme une entité homogène (et non comme un ensemble de nations formidablement différentes qu'elle est en réalité) qui aurait inventé toutes les tares de l'espèce humaine ( la dictature, la vilénie, la lâcheté, la cupidité, l'incapacité intellectuelle et politique, etc.) est une vraie préoccupation, pour quiconque aime, un tant soi peu, l'Afrique. C'est une erreur terriblement dommageable, car elle émane de deux personnalités - d'origine africaine- dont le commun des mortels pourrait penser qu'elles savent de quoi elles causent quand s'agit de l'Afrique, ce qui n'est visiblement pas le cas, car Fabrice Eboué et Thomas N'gijol reprennent les pires poncifs véhiculés par les profanes français sur l'Afrique, ses peuples, ses cultures et ses mœurs. C'est d'autant plus grave que des enfants de la diaspora africaine, qui légitimement, peuvent être fiers de Fabrice Eboué et Thomas N'gijol pour avoir « percé », dans un pays, la France, qui n'accorde que peu d'opportunités d'émergence à cette communauté, risquent de prendre pour vérité historique ce qui n'est qu'un catalogue de sketches destinés à amuser le « bon peuple » français sur ses colonies ? Quant à ce « bon peuple », plus que jamais sûr de son droit à disposer des ressources africaines (multiplication des guerres coloniales françaises ces cinq dernières années en Afrique), il n'avait pas besoin d'un coup de pouce dans sa funeste entreprise, surtout venant d'enfants d'ascendance africaine, comme le sont Eboué et N'gijol !
Pour la promotion de leur film, nos deux producteurs-comédiens sont parfois -et timidement- épinglés par des intervieweurs qui leur rappellent, justement, qu'ils n'auraient pu faire un film aussi caricatural sur l'Afrique s'ils n'étaient eux-mêmes Africains ! Mais à cette remarque, ils répliquent qu'ils ne voient pas où est le problème. Naïveté réelle ou feinte de leur part ?
Les Blancs, c'est sûr, s'en sentiront encore plus décomplexés et iront rire de cette « pauvre » Afrique, drôle, bizarre et « arriérée », qui décidément, « n'est pas entrée dans l'Histoire » et qui, de ce fait, aura toujours besoin du « Blanc », cet « ami qui lui veut du bien » 
Je terminerai en citant un illustre Camerounais, le grand Manu Dibango, parlant du regard occidental sur l'Afrique :
« Narco-dollars.. Et on nous bluese...l'Afrique sans Fric... Et on nous bluese ! Mince alors !  Africa, jamais désespérer, faut pas désespérer, Africa !» 



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Re:Le crocodile du botswanga

Message par Beauté Nubienne » févr. 15, 14 2:00 pm

<font color=brown>Reponse à <b>Gad</b>:</font>
 

Pour la promotion de leur film, nos deux producteurs-comédiens sont parfois -et timidement- épinglés par des intervieweurs qui leur rappellent, justement, qu'ils n'auraient pu faire un film aussi caricatural sur l'Afrique s'ils n'étaient eux-mêmes Africains !

Mais à cette remarque, ils répliquent qu'ils ne voient pas où est le problème. Naïveté réelle ou feinte de leur part ?


Gad, tu as fait un beau résumé de la situation !

Fabrice Eboué et Thomas N'gijol sont des opportunistes sans foi ni loi ! Ils vendraient père et mère pour percer en france ! T'inquiète pour ces deux énergumènes très intelligents, ils savent très bien ce qu'ils font !
Dernière modification par Beauté Nubienne le févr. 15, 14 2:01 pm, modifié 1 fois.
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Re:Le crocodile du botswanga

Message par Nanegnon » févr. 15, 14 2:17 pm

Les africains nous fatiguent s'ils ne veulent pas de films clichés , qu'ils ecrivent , produisent eux mêmes leurs films . quand les americains ecrivent leur films ils sont des superman , ils sont les plus beaux , les plus forts , les plus riches . les negros sont des pleurnichards ne font jamais rien d'eux meme mais esperent que les autres financent les films pour venter leur merite loool , ca va aller ..



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Re:Le crocodile du botswanga

Message par Beauté Nubienne » févr. 15, 14 2:30 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Gougnon</b>:</font>
 
Gougnon ! Justement c'est là où le bât blesse ! A ce qu'il parait, ce sont ces deux Africains qui ont réalisé, écrit et produit ce film !

Et puis, c'est très facile de balayer nos tares (qui ne cessent de s'accroître) d'un revers de la main ! Et le pire, c'est l'autoflagellation !

On ne pleurniche pas, on dénonce des dérives ! Et dénoncer, c'est pédagogique !
Dernière modification par Beauté Nubienne le févr. 15, 14 2:46 pm, modifié 1 fois.
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Re:Le crocodile du botswanga

Message par Nanegnon » févr. 15, 14 2:39 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Beauté Nubienne</b>:</font>
 
Ma cherie arrêtons les pleures , et acceptons les critques d'ou quelles viennent. peut etre que toi ta vision de la l'afrique n'est pas celle de ces deux réalisateurs.Nous avons un amour profond pour l'afrique mais ce n'est pas pour autant que nous fermerons les yeux sur nos tares .



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Re:Le crocodile du botswanga

Message par Tipa » févr. 15, 14 11:20 pm

Il faut attendre de voir le film qui sort dans deux jours. On jugera sur pièce. Dans l'intervalle, une question, pourquoi on ne fait pas la même critique à Dieudonné, notamment dans son sketch "Le président Africain", vu près d'1 million de fois? C'est bourré des mêmes clichés
http://www.youtube.com/watch?v=u_Xq2OgZ ... p#br#ed_cl#
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