Le candidat malheureux à la présidentielle du 28 novembre 2010,
Alassane Ouattara, ne démord pas dans son plan diabolique pour la
conquête du pouvoir d’Etat par les armes. Retranché depuis plus d’un
mois à l’hôtel du Golf, le mentor du RDR, qui compte sur ses soutiens
étrangers pour conquérir le pouvoir qu’il a perdu dans les urnes,
aurait, selon des sources, inondé le périmètre du Golf hôtel de
plusieurs mines anti-personnelles. Selon ces mêmes sources, c’est
lorsque le leader des jeunes patriotes, Charles Blé Goudé, a appelé fin
décembre dernier ses militants à aller libérer l’hôtel du Golf que
Alassane Ouattara et sa bande de rebelles, pris de trouille, ont opté
pour ce plan diabolique.
« Aujourd’hui, quand vous allez à l’hôtel du Golf, c’est
comme si on était dans champ de bataille. Ce sont les soldats des Forces
nouvelles qui vous disent de passer par ici et de ne pas passer par là ;
tout se passe comme s’il y avait quelque chose de caché que les
visiteurs ne voient pas », confie un technicien de surface qui a préféré gardé l’anonymat.
Selon la Convention d'Ottawa, la mine antipersonnel est «
une mine conçue pour exploser du fait de la présence, de la proximité ou
du contact d'une personne et destinée à mettre hors de combat, blesser
ou tuer une ou plusieurs personnes ». Ces engins dissimulés ne font pas
la distinction entre le pas d'un soldat et celui d'un civil; ils
continuent même de tuer et d'estropier bien après la fin de la guerre. L’emploi des mines antipersonnel bafoue les règles du
droit international humanitaire. Et les règles du droit international
humanitaire imposent en cas de conflit de faire la distinction entre
civils et combattants. Il interdit aussi l'emploi d'armes provoquant des
dommages excessifs par rapport au but militaire recherché. Or, ces
notions caractérisent précisément la spécificité des mines antipersonnel
dont l’utilisation a d’ailleurs été interdite depuis 1997.
Si cette information de pose de mines anti personnelles à l’hôtel du
Golf est confirmée, Alassane Ouattara et sa bande de rebelles devront
répondre de leurs actes devant les hautes juridictions nationales comme
internationales.
Zarro Bi T