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Dko
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Message par Dko » févr. 08, 18 4:10 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Eburneenne 3</b>:</font>
 
These criminals like the ICC want to make belief they have warrants ready to be made public against the com'ones, soro and even ouattara. They take their public surrogates like these NGOs to make public statetments and have no intent to do anything until they deem ouattara personna non grata.

They do this to buy time and "endormir la foule". If they want to prove anything, they would make public these supposed international arrest warrants, not just talk about it. They stated they had warrant months ago and still nothing came.

ICC, YOU'RE A BUNCH OF CRIMINALS WHO ARE CORRUPT, TAKING BRIBES FROM CRIMINALS AND YOU ARE IN BED WITH THE CRIMINALS. SO DON'T LOOK AT US LIKE YOU'RE GOING TO PUT US TO BED WITH YOUR ILL INTENT STORIES MADE PUBLIC BY YOUR COMPLICIT NGOs.



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Aly Bérry
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Message par Aly Bérry » févr. 09, 18 1:45 pm

Je suis decu de ma collegue, a la fac elle avait un an en avance sur moi. Femme tres belle tres gentille et intelligente.


Elle me parait beaucoup plus jeune!!!!

Le doyen a passé beaucoup de temps sur les bancs avant d'intégrer la fac de médecine on dirait.

On avait un comme ça au lycée de Gagnoa .Un Côrô . Bob XXX
il été plus vieux que les profs. Nous autres étions ses petits fils
Dernière modification par Aly Bérry le févr. 09, 18 1:49 pm, modifié 2 fois.
Un enfant qui joue impunément avec les seins de sa mère finira un jour par jouer avec les testicules de son père



Dko
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Message par Dko » févr. 11, 18 1:27 pm

Urgent Urgent Urgent/Coup de tonnerre - Marianne révèle que la France a empêché la libération de Gbagbo le 28 Mai 2013:« La CPI avait décidé de le libérer et ça été bloqué quand la France a informé Luis Ocampo qui pourtant n'y travaillait plus »(10/02)
And some of you think we are ill conceived when we direct our attention to france and their aggression towards us. It is systematic with them and we must be systematic with our desire and will to keep them at bay and away from us.

The days of france and the Ivory Coast being supposed good friends are over.



Eburneenne 3
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Message par Eburneenne 3 » févr. 12, 18 2:33 pm

DKO a ecrit:''Reponse à Son Excellence Eburneenne 3: These criminals like the ICC want to make belief they have warrants ready to be made public against the com'ones, soro and even ouattara. They take their public surrogates like these NGOs to make public statetments and have no intent to do anything until they deem ouattara personna non grata.

They do this to buy time and "endormir la foule". If they want to prove anything, they would make public these supposed international arrest warrants, not just talk about it. They stated they had warrant months ago and still nothing came.

ICC, YOU'RE A BUNCH OF CRIMINALS WHO ARE CORRUPT, TAKING BRIBES FROM CRIMINALS AND YOU ARE IN BED WITH THE CRIMINALS. SO DON'T LOOK AT US LIKE YOU'RE GOING TO PUT US TO BED WITH YOUR ILL INTENT STORIES MADE PUBLIC BY YOUR COMPLICIT NGOs..''
_______________________________________
Merci la-bas a toi,DKO!!! tout y est dans ton analyse. Nous avons affaire a une cour criminelle a la solde du machin onu. Cet instrument cpi a ete mis sur pied pour prendre en otage tous ceux qui luttent pour l'independance veritable de leur territoire tant pietine, pille et detruit par les predateurs occidentaux avec l'aide de negres de service de la trempe de DAO rebelle 1er volmentu, Bedie, le rebelle endurci Soro et toute la clique de l'alliance neocoloniale RHDP.
Les Ivoiriens et partant les Africains doivent se debarasser du m'a-tu vuisme. Nous nous sommes assez amuses. Ca suffit, reveillons-nous!



Eburneenne 3
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Message par Eburneenne 3 » févr. 12, 18 2:54 pm

Voila que les medias francais ont commence a s'agiter pour dedouaner leur pays afin que les coupables soient seulement leurs negres de service DAO rebelle 1er volmentu, Bedie, le criminel endurci Soro et toute la clique de l'alliance neocoloniale RHDP. Heureusement que le digne peuple de Cote d'Ivoire n'est pas dupe et sait tres bien le role nefaste et criminel qu'a joue la petite France et qu'elle continue de jouer dans cette tragedie que connait la Terre d'Eburnie. Au temps indique, la France paiera ainsi que ses toutous de l'alliance neocoloniale RHDP.
-----------------------------------------
CÔTE D'IVOIRE: L'OMBRE DES DOUTES SUR LE PROCÈS GBAGBO (par Marianne, journal français)

Qu'elle est longue à rendre, la justice, à la cour pénale (CPI) de la Haye...
Le 19 janvier dernier, deux ans après son ouverture et plus de six ans après l'incarcération de l'intéressé , la première étape du procès de Laurent Gbagbo s'est achevée avec l'audition du 82e et le dernier témoin de l'accusation. Présentée comme un rendez-vous majeur pour une institution chargée de faire triompher le droit sur tous les continents, la procédure engagée contre l'ancien président de la Côte d'Ivoire doit établir sa volonté de &lt;&lt; conserver le pouvoir par tous les moyens, y compris par l'emploi de la force contre les civils&gt;&gt; lors de la crise postelectorale de 2010-2011 au terme de laquelle son adversaire, Alassane Ouattara prit le pouvoir. Les charges retenues contre Laurent Gbagbo et censée prouver son implication dans les crimes contre l'humanité, portent sur quatre événements précis: la répression d'une manifestation &lt;&lt;pacifiste&gt;&gt;, le 16 décembre 2010 devant les locaux de la télévision publique ivoirienne, celle d'une marche de femmes pro Ouattara, le 3 Mars 2011, dans le quartier d'Abobo, le bombardement d'un marché, le 17 mars 2011 et enfin des violences commises unilatéralement par les partisans de Gbagbo dans leur fief de Yopougon le 12 avril 2011, au lendemain de son arrestation par les forces rebelles avec l'appui décisif de l'armée française.

Avant même le début du procès, les juges de la CPI avaient demandé à la procureure, la gambienne Fatou Bensouda, de revoir sa note basée sur un accumulation de simples coupures de presse, des rapports d'ONG et des affirmations trop vagues et imprécises. Loin de les étayer, l'interminable audition des témoins de l'accusation a souvent mis en évidence la faiblesse des charges pesant sur le président déchu alors que la légitimité même de la procédure intentée contre lui par la CPI fait débat. Ainsi, au mois d'octobre dernier, se fondant sur 40.000 documents confidentiels recueillis par leurs soins, neuf medias regroupés dans l'European Investigative Collaboration (EIC) dénonçaient une initiative prise en dehors de tout cadre procédural et &lt;&lt;au bénéfice exclusif d'une partie à savoir l'actuel président&nbsp; Alassane Ouattara&gt;&gt;. En contradiction totale avec la neutralité politique que revendique la CPI.
L'EIC publiait ainsi le contenu d'un courriel électronique du 12 avril 2011, révélant l'existence d'échanges entre Luis Moreno Ocampo, première procureur de la CPI, une diplomatie française a l'ONU après avoir été conseillée spéciale à la Haye et Alassane Ouattara lui-même. Ce dernier écrit Ocampo, ne doit pas relâcher Gbagbo le temps qu'un pays de la sous région accepte de renvoyer l'affaire devant la CPI. Tous ont en effet un sérieux problème: Il n'y a pas à l'époque de base légale permettant d'engager des démarches judiciaires contre Gbagbo, la Côte d'Ivoire n'ayant pas formellement ratifié le statut de Rome qui préside à l'adhésion d'un État à la CPI.
Dans un autre mail que Marianne a pu consulter, et daté cette fois du 7 Mars 2011, un mois avant l'arrestation de Gbagbo, la même diplomate en poste évoque la fragilité de l'entreprise car &lt;&lt; les lettres d'acceptation envoyées par la Côte d'Ivoire à la cour n'équivalent donc pas une saisine directe de la cour&gt;&gt;.
En réalité, après que Gbagbo eut demandé une étude juridique de la question, le 17 octobre 2003, le conseil constitutionnel ivoirien a pris une décision (CCN°002/CC/SG) stipulant que &lt;&lt;le statut de Rome de la cour pénale internationale est non conforme à la Constitution [ivoirienne] du 1er août 2000&gt;&gt;.

PARFUM DE FRANÇAFRIQUE

Cet imbroglio juridique fort embarrassant, personne ne l'ignore dans les milieux diplomatiques français qui, en collaboration étroite avec Ocampo, ont pourtant visiblement déjà tranché le sort de Gbagbo. À preuve, un mail daté du 6 avril 2011 et adressé par Gérard Araud, alors représentant permanent de la France a l'ONU, à plusieurs membres du Quai d'Orsay dont le patron de la direction afrique: &lt;&lt;la saisine se heurtent aux résistance les plus vives, non seulement de la part des membres du CSNU (conseil de sécurité des nations unies qui ne font pas partie du statut de Rome. En particulier, l'Indien hystérique sur le sujet, mais, de ceux qui ne veulent pas que ce recours rende difficile d'éventuels accords pour mettre un terme aux combats&gt;&gt;.
Ce même 6 avril, dans un autres mail que Marianne s'est également procuré, la diplomatie en poste à l'ONU enfonce le clou:&lt;&lt; Et la piste d'un renvoi de la situation CDI à la CPI par le Sénégal, le Burkina Faso, le Nigeria/Cedeao ou au moins la menace d'un renvoi? Ce sont tous les États partis à la CPI et à ce titre ils peuvent saisir individuellement, je crois comprendre que le bureau du procureur en discutait encore aujourd'hui avec Blaise Compaore&gt;&gt;
Rappelons que ce dernier grand ami d'Alassane Ouattara et président du Burkina Faso de 1987 jusqu'au soulèvement populaire est aujourhdui réfugié en Côte d'Ivoire et en a obtenu la nationalité. Il fait toujours l'objet de poursuites et reste soupçonné pour son rôle suppose dans l'assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara. Qu'on songe à lui pour faciliter le transfert de Gbagbo à la CPI conforte les partisans du président déchu dans leur conviction que toute l'opération dégage un fort parfum de Françafrique...

À l'époque, les diplomates français savent que les massacres,&lt;&lt;sur une base ethnique&gt;&gt; implique les deux camps. &lt;&lt;Pas seulement les massacres des gens du nord par les milices de Gbagbo, mais aussi les massacres des Bétés par les FRCI ( Rebelles) [ les rebelles pro Ouattara] &gt;&gt; indique l'un d'entre eux à ses collègues, toujours le 6 avril 2011, à l'issue d'une réunion à la direction afrique. Avant d'ajouter &lt;&lt; Je suis conscient qu'il n'est pas bienvenu de renvoyer les partis dos à dos...&gt;&gt;
Sept ans plus tard, seul effectivement Laurent Gbagbo fait face aux juges de la CPI.
Ceux ci ont pourtant bien failli le relâcher après son incarcération du moins si l'ont en crois un mail que la diplomatie française de l'ONU adresse à Luis Moreno, le 23 Mai 2013, qui a pourtant quitté l'institution en 2012, cédant son poste à sa plus proche collaboratrice, Fatou Bensouda. Gbagbo, indique-t-elle en substance à son interlocuteur qui tombe des nues (&lt;&lt;Oh non!&gt;&gt;) le 28 mai... Comment peut elle le savoir, sinon grâce à une fuite interne qui entache un peu plus l'image de l'institution?
Au bout du compte, Gbagbo ne sera pas libéré mais les juges de la chambre préliminaire chargés d'examiner les charges contre lui étaient clairement divisés. La juge belge Christine Van Den Wyngaert, en particulier ne croyait pas le dossier suffisamment solide pour aller au procès. Et le fera savoir de manière très détaillée un an plus tard en Juin 2014.
Pour l'heure, le procès est suspendu et nul ne sait quand il reprendra et si les avocats de Laurent Gbagbo renonceront à l'audition de leurs propres témoins pour en hâter le dénouement. Comme ce fut plusieurs fois le cas, la rumeur d'une libération conditionnelle du prévenu agite les couloirs de la CPI...


CÔTE D'IVOIRE: L'OMBRE DES DOUTES SUR LE PROCÈS GBAGBO (par Marianne, journal français)
Qu'elle est longue à rendre, la justice, à la cour pénale (CPI) de la Haye...
Le 19 janvier dernier, deux ans après son ouverture- et plus de six ans après l'incarcération de l'intéressé -, la première étape du procès de Laurent Gbagbo s'est achevée avec l'audition du 82e et dernier témoin de l'accusation. Présentée comme un rendez-vous majeur pour une institution chargée de faire triompher le droit sur tous les continents, la procédure engagée contre l'ancien président de la Côte d'Ivoire doit établir sa volonté de &lt;&lt; conserver le pouvoir par tous les moyens, y compris par l'emploi de la force contre les civils&gt;&gt; lors de la crise postelectorale de 2010-2011 au terme de laquelle son adversaire, Alassane Ouattara prit le pouvoir. Les charges retenues contre Laurent Gbagbo et censée prouver son implication dans les crimes contre l'humanité, portent sur quatre événements précis: la répression d'une manifestation &lt;&lt;pacifiste&gt;&gt;, le 16 décembre 2010 devant les locaux de la télévision publique ivoirienne, celle d'une marche de femmes pro Ouattara, le 3 Mars 2011, dans le quartier d'Abobo, le bombardement d'un marché, le 17 mars 2011 et enfin des violences commises unilatéralement par les partisans de Gbagbo dans leur fief de Yopougon le 12 Avril 2011, au lendemain de son arrestation par les forces rebelles avec l'appui décisif de l'armée française.
Avant même le début du procès, les juges de la CPI avaient demandé à la procureur, la gambienne Fatou Bensouda, de revoir basée sur un accumulation de simples coupures de presse, des rapports d'ONG et des affirmations trop vagues et imprécises. Loin de les étayer, l'interminable audition des témoins de l'accusation a souvent mis en évidence la faiblesse des charges pesant sur les président déchu alors que la légitimité même de la procédure intentée contre lui par la CPI fait débat. Ainsi, au mois d'octobre dernier, se fondant sur 40000 documents confidentiels recueillis par leurs soins, neuf medias regroupés dans l'European Investigative Collaboration (EIC) dénonçaient une initiative prise en dehors de tout cadre procédural et &lt;&lt;au bénéfice exclusif d'une partie à savoir l'actuel président ivoirien, Alassane Ouattara&gt;&gt;. En contradiction totale avec la neutralité politique que revendique la CPI.
L'EIC publiait ainsi le contenu d'un courriel électronique du 12 Avril 2011, révélant l'existence d'échanges entre Luis Moreno Ocampo, première procureur de la CPI, une diplomatie française a l'ONU après avoir été conseillée spéciale à la Haye et Alassane Ouattara lui-même. Ce dernier écrit Ocampo, ne doit pas relâcher Gbagbo le temps qu'un pays de la sous région accepte de renvoyer l'affaire devant la CPI. Tous ont en effet un sérieux problème: Il n'y a pas à l'époque de base légale permettant d'engager des démarches judiciaires contre Gbagbo, la Côte d'Ivoire n'ayant pas formellement ratifié le statut de Rome qui préside à l'adhésion d'un État à la CPI.
Dans un autre mail que Marianne a pu consulter, et daté cette fois du 7 Mars 2011- un mois avant l'arrestation de Gbagbo - la même diplomate en poste évoque la fragilité de l'entreprise car &lt;&lt; les lettres d'acceptation envoyées par la Côte d'Ivoire à la cour n'équivalent donc pas une saisine directe de la cour&gt;&gt;.
En réalité, après que Gbagbo eut demandé une étude juridique de la question, le 17 octobre 2003, le conseil constitutionnel ivoirien a pris une décision (CCN°002/CC/SG) stipulant que &lt;&lt;le statut de Rome de la cour pénale internationale est non conforme à la Constitution [ivoirienne] du 1er Août 2000&gt;&gt;.
PARFUM DE FRANÇAFRIQUE
Cet imbroglio juridique fort embarrassant, personne ne l'ignore dans les milieux diplomatiques français qui, en collaboration étroite avec Ocampo, ont pourtant visiblement déjà tranché le sort de Gbagbo. À preuve, un mail daté du 6 Avril 2011 et adressé par Gérard Araud, alors représentant permanent de la France a l'ONU, à plusieurs membres du Quai d'Orsay dont le patron de la direction Afrique: &lt;&lt;la saisine se heurtent aux résistance les plus vives, non seulement de la part des membres du CSNU (conseil de sécurité des nations unies qui ne sont pas partie au statut de Rome- en particulier l'Indien- hystérique sur le sujet- mais de ceux qui ne veulent pas que ce recours rende difficile d'éventuels accords pour mettre un terme aux combats&gt;&gt;.
Ce même 6 Avril, dans un autres mail que Marianne s'est également procuré, la diplomatie en poste à l'ONU enfonce le clou:&lt;&lt; Et la piste d'un renvoi de la situation CDI à la CPI par le Sénégal, le Burkina Faso, le Nigeria/Cedeao ou au moins la menace d'un renvoi? Ce sont tous les États partis à la CPI et à ce titre ils peuvent saisir individuellement, je crois comprendre que le bureau du procureur en discutait encore aujourd'hui avec Blaise Compaore&gt;&gt;
Rappelons que ce dernier grand ami d'Alassane Ouattara et président du Burkina Faso de 1987 jusqu'au soulèvement populaire est aujourhdui réfugié en Côte d'Ivoire et en a obtenu la nationalité. Il fait toujours l'objet de poursuites et reste soupçonné pour son rôle suppose dans l'assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara. Qu'on songe à lui pour faciliter le transfert de Gbagbo à la CPI conforte les partisans du président déchu dans leur conviction que toute l'opération dégage un fort parfum de Françafrique...
À l'époque, les diplomates français savent que les des massacres,&lt;&lt;sur une base ethnique&gt;&gt; implique les deux camps. &lt;&lt;Pas seulement les massacres des gens du Nord par les milices de Gbagbo, mais aussi les massacres des Bétés par les FRCI ( Rebelles) [ les rebelles pro Ouattara] &gt;&gt; indique l'un d'entre eux à ses collègues, toiujours le 6 avril2011, à l'issue d'une réunion à la direction Afrique. Avant d'ajouter &lt;&lt; Je suis conscient qu'il n'est pas bienvenu de renvoyer les partis dos à dos...&gt;&gt;
Sept ans plus tard, seul effectivement Laurent Gbagbo fait face aux juges de la CPI.
Ceux ci ont pourtant bien failli le relâcher après son incarcération du moins si l'ont en crois un mail que la diplomatie française de l'ONU adresse à Luis Moreno, le 23 Mai 2013, qui a pourtant quitté l'institution en 2012, cédant son poste à sa plus proche collaboratrice, Fatou Bensouda. Gbagbo, indique-t-elle en substance à son interlocuteur qui tombe des nues (&lt;&lt;Oh non!&gt;&gt;) le 28 mai... Comment peut elle le savoir, sinon grâce à une fuite interne qui entache un peu plus l'image de l'institution?
Au bout du compte, Gbagbo ne sera pas libéré mais les juges de la chambre préliminaire chargés d'examiner les charges contre lui étaient clairement divisés. La juge belge Christine Van Den Wyngaert, en particulier ne croyait pas le dossier suffisamment solide pour aller au procès. Et le fera savoir de manière très détaillée un an plus tard en Juin 2014.
Pour l'heure, le procès est suspendu et nul ne sait quand il reprendra et si les avocats de Laurent Gbagbo renonceront à l'audition de leurs propres témoins pour en hâter le dénouement. Comme ce fut plusieurs fois le cas, la rumeurs d'une libération conditionnelle du prévenu agite les couloirs de la CPI...


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Message par Eburneenne 3 » févr. 12, 18 3:15 pm

En realite,&nbsp; l'etat de Cote d'Ivoire n'a pas porte plainte contre le President Gbagbo. C'est plutot la France au travers de ses pantins de l'alliance neocoloniale RHDP installes a coups de bombes democratiques. La France a monte tout le dossier depose au machin cpi aux mains du procureur vereux et mafieux Luis Moreno Ocampo et ensuite de la negresse de service, la Gambienne Fatou Bensouda. Le dossier mensonger et propagandiste a ete traite et monte de toute piece par le ministere de la justice francaise et des affaires etrangeres sous le nabot Sarkozy. Ce sont eux qui ont monte ce dossier mensonger et grossier. Ils ont appele l'un de leur toutou de l'alliance neocoloniale RHDP, le sinistre Ahoussou Jeannot et ce sont bel et bien les dirigeants francais qui lui ont intime l'ordre de deposer ce dossier&nbsp; au machin cpi. La postiche&nbsp; Ahoussou marchait juste derrire le ministre francais de la justice pour le depot du dossier fabrique dans l'anti-chambre de l'Elysee. Ce minable d'Ahoussou, toutou du neoliberalisme ne connaissait aucunes procedures du machin cpi. C'est le ministre francais de la justice, sinistre individu qui lui dictait les choses et il obeissait en bon negre de maison. Aujourd'hui, le resultat de leur cruaute, leur mechancete, leur animosite, leur perversion est la, patois, pendant a leurs gueules de mafieux sans scrupule.Tout le dossier repose sur du faux. Tous les scenaristes morbides et diaboliques se retrouvent pris a leurs propres pieges qu'ils ont tendus.On ira jusqu'au bout dixit le President Legitime et aime du digne peuple de Cote d'Ivoire Gbagbo Koudou!!!

Ecoutez le sinistre,le minable d'Ahoussou Jeannot Kouadio.Il explique le plan commun mis en place pendant qu'ils étaient au golf lors de la crise post-électorale de 2010. https://www.facebook.com/plugins/video. ... ;width=560" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" allowfullscreen="true" width="560" height="315" frameborder="0">

Dernière modification par Eburneenne 3 le févr. 12, 18 4:02 pm, modifié 1 fois.
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Dko
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Message par Dko » févr. 13, 18 12:41 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Eburneenne 3</b>:</font>
 
Les francais pensent qu'ils sont malin.

And the criminal organization known as the ICC is following their orders. They have given the head criminal henchman bensouda one more month to "wrap up and sum up her case". This is another ploy to buy time.

Then on top of it, Judge Cuno's mandate will be ending. So a new judge to be added will be another ploy to buy themselves even more time.

The ICC is a criminal enterprise. france is not a friend to the Ivory Coast nor a friend to Africa. All African nations should be aware of this and turn away from dealing with france, selling them any resources or having any thing to do with france.

We have a need to get rid of french as a language on our continent. we must learn from South Africa and get rid of the colonizers.



sam kehi,le Guere
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Re:Pour suivre le proces de notre president Gbagbo (V)

Message par sam kehi,le Guere » févr. 14, 18 4:40 am

La vulnerabilite' de l'Afrique est aussi due au fait que de veritables chefs de gangs accedent a' la magistrature supreme en Europe.Ces derniers utilisent leurs armees pour attaquer nos pays comme des bandits attaquent une banque.



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Message par Eburneenne 3 » févr. 14, 18 11:16 am

LES CRIMES QU'ETAIENT CENSE&nbsp; TRAITE LE MACHIN CPI SI C'ETAIT REELLEMENT UNE COUR DE JUSTICE A PART ENTIERE

Le traité fondateur de la cour, appelé le statut de Rome, confère au machin CPI une compétence à l'égard de quatre crimes principaux.

Je ne vois pas dans tout ça en quoi le President Laurent Gbagbo à fortiori le ministre&nbsp; Charles Blé Goudé sont concernés. Lisez un peu..

Premièrement, le crime de génocide est caractérisée par l'intention spécifique de détruire, en tout ou partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux par le meurtre de ses membres ou par d'autres moyens : atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale de membres du groupe ; soumission intentionnelle du groupe à des conditions d'existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ; mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe ; ou transfert forcé d'enfants du groupe à un autre groupe.

Deuxièmement, la CPI peut engager des poursuites pour des crimes contre l'humanité, qui sont de graves violations commises dans le cadre d'une attaque de grande envergure lancée contre toute population civile. Les 15 formes de crimes contre l'humanité énumérées dans le statut de Rome comprennent des délits tels que le meurtre, le viol, l'emprisonnement, les disparitions forcées, la réduction en esclavage, notamment celle des femmes et des enfants, l'esclavage sexuel, la torture, l'apartheid et la déportation.

Troisièmement, les crimes de guerre, qui constituent des infractions graves aux Conventions de Genève dans le contexte d'un conflit armé et comprennent, par exemple, le fait d'utiliser des enfants soldats ; le fait de tuer ou de torturer des personnes telles que des civils ou des prisonniers de guerre ; le fait de diriger intentionnellement des attaques contre des hôpitaux, des monuments historiques, ou des bâtiments consacrés à la religion, à l'enseignement, à l'art, à la science ou à l'action caritative.

Enfin, le quatrième crime relevant de la compétence de la CPI est le crime d'agression. Il s'agit de l'emploi par un État de la force armée contre la souveraineté, l'intégrité ou l'indépendance d'un autre État. La définition de ce crime a été adoptée en apportant des amendements au Statut de Rome lors de la première Conférence de révision du Statut qui s'est tenue à Kampala (Ouganda) en 2010.
Le 15 décembre 2017, l'assemblée des états parties a adopté par consensus une résolution sur le déclenchement de la juridiction de la Cour sur le crime d'agression à compter du 17 juillet 2018.

Les Ivoiriens et partant les Africains doivent se debarasser du m'a-tu vuisme. Nous nous sommes assez amuses. Ca suffit, reveillons-nous!



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Message par Eburneenne 3 » févr. 16, 18 7:11 am

CPI, la suite ???

Shlomit Abel·Tuesday, February 13, 2018


Le portugais António Campinos doit succéder à Benoît Battistelli comme président de l’Office Européen des Brevets,(EPO, European Patent Office ), et ce dès le 1er juillet 2018 pour un mandat de 5 ans.

Et alors me dire-vous, en quoi cela nous concerne-t-il??? Eh bien figurez-vous que le candidat malheureux en face de lui est le célèbre juge de la CPI Cuno Tarfusser, probablement dégouté de la nature humaine, et qui briguait un poste purement administratif où il ne déciderait plus du sort des hommes -pour lesquels on attend un verdict plus politique que juste,mais de la bonne sauvegarde de brevets! Malheureusement, son rival Campinos a bénéficié du soutien intégral de son ancien patron Battistelli, un peu comme Luis Ocampo qui est arrivé à imposer son adjointe et fidèle collaboratrice Fatou Bensouda.
En effet, pour tous ces spécialistes des brevets que l’on promeut et les autres que l’on étouffe dans l’oeuf, que connait ce juge de la CPI au monde des brevets, un monde certainement pour les seuls initiés qui aiment patauger en eaux troubles … Alors oui, même si son contrat à la CPI prend fin en mars 2018, il a maintenant encore du temps, il va pouvoir jouer les prolongations, en attendant de trouver un autre poste. Lorsqu’il est devenu juge à la CPI, j’avais lu que son ambition était de diriger la haute cour de justice italienne. Est-ce encore à l’ordre du jour pour ce professeur de droit qui enseigne en Italie et en Autriche?
Oh notre juge, bien que très encadré dans son rôle de courtisan/juriste au service des états européens,où il ne peut pas désavouer ceux qui lui versent un bon salaire, ne se fait pas d’illusions. De temps en temps, il revient dans sa bonne ville de Bosen dans le sud Tyrol (Autriche), et dans son allemand natal se livre un peu. C’était le cas pendant les derniers congés de noël où il animait une conférence sur l’accueil des migrants en Europe, dans cette ville où il été procureur pendant une dizaine d’années avant de rejoindre La Haye.
S’exprimant dans la presse écrite, je vous cite quelques paroles tirées d’une Interview parue le 29 décembre 2017. « Finalement il n’y a que peu de réfugiés qui viennent en Europe, compte tenu de ce qui se passe dans leur pays d’origine. L’union européenne veut endiguer le flot des réfugiés, mais il faudrait qu’elle essaie de rendre aux Africains une partie de ce qui leur revient! Pendant des années, l’Europe a exploité ses colonies et s’est enrichie de ce fait. Comment se fait-il qu’en Côte d’Ivoire, 70% du cacao est destiné à l’exportation, alors que là-bas les enfants ne peuvent pas se payer une seule tablette de chocolat?”
&nbsp;On n’en est plus à essayer de distribuer quelques tablettes de chocolat pour mieux faire main basse sur le cacao et autres richesses ivoiriennes! Il s’agit de libérer celui qui aurait pu nourrir et développer son peuple, mais dont l’élan a été coupé, parce que la communauté européenne, -et la France en particulier- n’était pas prête à concrétiser le partenariat gagnant-gagnant comme le désirait ardemment le Président Gbagbo. Les états n’ont rien appris, la pression est toujours aussi forte, rendre exsangue la vache à lait africaine.

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Vous comprendrez par ce texte de Shlomit Abel que le juge mafieux Cuno Tarfusser en bon italien haineux des personnes de notre couleur de peau n'en a cure de dire le droit. Il est juste la pour les interets de l'occident et justifier son salaire que lui verse les predateurs occidentaux. Que ce pseudo-proces se prolonge, ne fait que l'arranger, le temps qu'il trouve un autre endroit pour continuer ses sales besognes de mafieux au service de la communaute criminelle occidentale.
Les Ivoiriens et partant les Africains doivent se debarasser du m'a-tu vuisme. Nous nous sommes assez amuses. Ca suffit, reveillons-nous!



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