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Le paradoxe negre

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Re:Le paradoxe negre

Message par Eburneenne 3 » mars 12, 17 7:14 am

T'inquiete, tout se met en place comme les pieces d'un puzzle et toutes les actions sont entrain de s'imbriquer les unes dans les autres pour la liberation de la Côte d'Ivoire et partant de l'Afrique. Ce n'est qu'une question de temps. Souffre que je ne t'en dise pas plus car on ne sait pas qui est qui sur ce forum frequente par des rebelles dramaniens. Allons seulement!!!
Les Ivoiriens et partant les Africains doivent se debarasser du m'a-tu vuisme. Nous nous sommes assez amuses. Ca suffit, reveillons-nous!



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Hwenusu
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Re:Le paradoxe negre

Message par Hwenusu » mars 12, 17 7:32 am

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Eburneenne 3</b>:</font>
 
c'est bien, ça marche
Dernière modification par Hwenusu le mars 12, 17 7:32 am, modifié 1 fois.
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Eburneenne 3
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Message par Eburneenne 3 » mars 13, 17 4:06 am

COTE D'IVOIRE: LES CAUSES EXOGENES DE LA CRISE QUI SECOUE NOTRE PAYS (Vol1)

DU PREMIER SOUS/PREFET&nbsp; FELIX HOUPHOUET A ALASSANE DRAMANE OUATTARA , TOUS ONT SEME LA MORT ET LA DESOLATION AUTOUR DE LA MAISON IVOIRE.

SOURCES:
- LEMONDEDIPLOMATIQUE.COM
- LEMONDE.COM
- NOUVELAFRIQUE.COM
- FRATERNITEMATIN.COM
- AMONDJI MARCEL ET SON OUVRAGE: ''Houphouet, le revers de la médaille''
- LES INTERVIEW DE ESSY AMARA DANS FRATERNITE MATIN ET
- AFRIQUEMAGAZINE.COM
- LALETTREDUCONTINENT.COM

On l'appelait affectueusement "père fondateur de la Cote d'Ivoire", il s'agit du premier sous/prefet Felix Houphouet Boigny, celui-ci joua un rôle très néfaste dans les differentes guerres qui ont secoue l'Angola, le Liberia, le Biafra (Nigeria) puis dans la mort de Thomas Sankara.

GUERRE CIVILE EN ANGOLA: ABIDJAN, LA BASE ARRIERE ENTRETENUE A LA FOIS PAR LE VIEUX BOIGNY, BEDIE ET ALASSANE DRAMANE DRAMANE OUATTARA

Financée, entretenue et protégee par les differents gouvernements ivoiriens depuis Houphouet jusqu'a Bédié en passant par Alassane Dramane Ouattara chef du gouvernement sous Houphouet, tous ont contribue la desolation qui s'etait abattue sur l'Angola par l'entremise du rebelle Jonas Malheiro Savimbi,chef de l'unita, rebellion angolaise et nul n'ignore ces faits. Passeport diplomatiques, jet et avion présidentiels du francafricain Boigny transportait Savimbi et ses lieutenants depuis le GATL jusqu'à Huambo, Jamba et autres, pour tuer de pauvres Angolais. La radio de la rebellion angolaise éméttait depuis Abidjan.

Après la mort d'Houphouet, Bédié prît le relais du crime: la carrière politique d’Henri Konan Bédié n’etait pas seulement jonchée de cadavres d’innocents compatriotes mais aussi du sang d’enfants, de femmes, et de vieillards Angolais au travers de son appui militaire , politique, financier et diplomatique à Jonas Savimbi, le redoutable et sanguinaire chef rebelle de l’Unita (union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola) d'Angola que l’Afrique a connu et qui est bien comparable au khmers rouges du Cambodge. C’est ce chef rebelle Jonas Savimbi de l’Unita d'Angola qu'Henri Konan Bédié a appuyé et soutenu diplomatiquement avec l’octroi à ses rebelles de l’Unita et a lui des passeports diplomatiques de la Côte d’Ivoire, notre pays. Henri Konan Bédié fournissait gîtes et couverts au chef rebelle Savimbi et à ses proches à Abidjan, Yamoussoukro et&nbsp; Daoukro. La Côte d’Ivoire sous&nbsp; Henri Konan Bédié devint alors une base stratégique pour le chef rebelle Jonas Savimbi comme l’était la ville d’Istanbul en Turquie pour tous les services secrets des pays du Pacte de Varsovie et de l’organisation du traité de l’Atlantique du Nord (OTAN) pendant la guerre froide. Jonas Savimbi et ses rebelles partirent de la Côte d’Ivoire pour massacrer des enfants, des femmes et des vieillard en Angola pendant des années avec l’appui militaire, financier et diplomatique d'Henri Konan Bédié et des milliers d’Angolais continuaient à être systématiquement massacrés comme Charles Taylor le fit en Sierra Léone et Jean-Pierre Bimba en Centrafrique. C’est dans cette situation que le Secrétaire Général des Nations Unies d’alors l’Égyptien Boutros Boutros Gali nomma, l’ancien ministre des affaires étrangères du Mali, ancien secrétaire et directeur du département juridique de la Banque Africaine de Développement ( BAD), membre de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, expert en Droit International, Maitre Alioune Blondin Beye représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en Angola avec pour mission d’aider à trouver une solution à la guerre imposée au peuple Angolais. Aux conférences de paix de Lusaka en Zambie, Maitre Alioune Blondin Beye réussi à faire signer le 15 novembre 1994 le protocole de Lusaka au chef rebelle Jonas Savimbi. Le chef rebelle contrairement à l’intérêt supérieur de l’Angola rejeta par la suite le protocole de Lusaka et la guerre reprit en Angola après l’organisation d’une élection présidentielle. Le chef rebelle Jonas Savimbi déserta Luanda la capitale Angolaise pour retourner dans la rébellion et reprendre la guerre,fort du soutien de Konan Bédié et consorts.

Maitre Alioune Blondin Beye représentant du secrétaire général des Nations Unies en Angola dans un élan de paix pour l’Angola partait rencontrer Henri Konan Bédié alors président de la république de la Côte d’Ivoire et premier soutien du chef rebelle Jonas Savimbi de l’Angola en Afrique de l’ouest .Maitre Alioune Blondin Beye représentant spécial des Nations Unies en Angola ayant donc à son agenda une rencontre formelle prévue avec Henri Konan Bédié à la présidence à Abidjan pour demander à monsieur Henri Konan Bédié d’arrêter de soutenir diplomatiquement, militairement et financièrement le chef rebelle Angolais Jonas Savimbi pour arrêter les massacres d’enfants, de femmes et de vieillards en Angola. Ce message de la paix en faveur du peuple frères d’Angola n’arrivera jamais dans les oreilles d'Henri Konan Bédié car l’avion de commandement de maitre Alioune Blondin Beye représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en Angola en approche finale à l’aéroport Félix Houphouët Boigny d’Abidjan fit un crash dans la forêt de Bingerville d’une manière suspicieuse le 26 Juin 1998.

Maitre Aliounne Blondin Beye y laissa son bâton de pèlerin, sa vie, pour la paix en Angola et en Afrique. La mort de maitre Aliounne Blondin Beye dans cette tragédie me déchira le cœur car je connaissais maitre Aliounne Blondin Beye et son engagement en faveur de la paix en Angola et en Afrique. J’avais collaboré avec lui à Abidjan, à Banjul (Gambie) et à Lusaka (Zambie) dans le cadre du Droit Internationale Humanitaire. Au cours d’une de nos réunions de travail, il dira ceci : « J’ai été conseillé de Moussa Traoré (ancien président du Mali), lorsque je lui disais de donner des journaux à ses opposants qu’il mettait en prison dans le nord désertique du mali, il refusait. Voila aujourd’hui, c’est lui qui a pris la place de ses opposants dans les mêmes prisons au Nord du Mali. »
Maitre Aliounne était très humain, un homme simple et disponible pour l’Afrique, C’est pour lui que nous demandons qu’une nouvelle enquête sur l’accident de son avion qui lui a couté la vie à l’aéroport d’Abidjan soit ouverte pour qu' Henri Konan Bédié assume ses responsabilites car maitre Alioune Blondin Beye, représentant spécial des Nations Unies en Angola à disparu dans des conditions qui conduisent a soupconner Konan Bédié de sa mort subite. Il faut donc une enquête sérieuse pour non seulement permettre aux ayants droits de la victime d’obtenir une réparation mais surtout pour connaitre l’étendue de l’implication personnelle dans cette affaire de Konan Bédié, aussi une autre enquête internationale ou du Gouvernement Angolais pour aussi connaitre l’étendue de la responsabilité personnelle d'Henri Konan Bédié dans les massacres des enfants, des femmes et des vieillards en Angola par l'entremise du chef rebelle Jonas Savimbi soutenu pendant des années par Henri Konan Bédié.

Le soutien diplomatique, militaire et financier d'Henri Konan Bédié à Jonas Savimbi alors chef rebelle de l’Unita en Angola a bien des traces qui sont coservees par le gouvernement Angolais, l’ONU, l’Union Africaine et plusieurs organisations régionales et des droits de l’homme. L’enquête sur la responsabilité d’Henri Konan Bédié dans les massacres de l’Unita de Jonas Savimbi, lui permettra d’aller se défendre et se faire blanchir à la cour pénale internationale pour crimes de sang en Angola, comme les crimes de Charles Taylor en Sierra Léone et de Jean Pierre Bemba en Centrafrique. Lorsqu’Henri Konan Bédié finira de se faire blanchir par la cour pénale internationale pour ses crimes en Angola, il devra egalement repondre de sa responsabilite dans la tragedie que connait notre cher pays la Cote d'Ivoire car l’administration de notre pays dans toute sa composante ne peut plus continuer à être un nid de criminels, de rebelles qui se convertissent en politiciens ou en administrateur et qui pensent&nbsp; tous etre&nbsp; à l’abri de la justice. Ils devraient savoir que leurs crimes sont indeniables, ce qui voudrait dire pour nos ignorants qu’ils pourront de leurs crimes même dix ou vingt ans après. A la lumière donc des crimes de Konan Bédié en Angola, l’on peu aujourd’hui comprendre pourquoi il s’est joint facilement aux rebelles en Côte d’Ivoire.

LIBERIA: LE VIEUX, LE GENERAL GUEI ET LE PDCI ANCIEN PARTI UNIQUE EN CI

Pour comprendre le rôle de Charles Taylor dans la guerre ivoirienne, il est utile de revenir sur la fin des années 1980, lorsque celui-ci se préparait à l’affrontement avec le président libérien d’alors, Samuel Doe. Houphouët-Boigny donna son feu vert à l’offensive de Taylor à partir de la Côte d’Ivoire le 24 décembre 1989. La décision du président ivoirien était motivée par l’assassinat, par Doe, du président libérien William Tolbert puis de son fils Aldolphus (marié à la filleule d’Houphouet, Désirée Delafosse) lors du coup d’État de 1980.
L’intégration de soldats ivoiriens dans les rangs du NPFL permit un rapprochement entre son dirigeant et le chef d’état-major ivoirien Robert Gueï. En effet, par ses fonctions, Gueï jouait un rôle crucial dans l’approvisionnement en armes de Taylor quand celui-ci est entré au Liberia. De plus, ces liens étaient renforcés par des affinités ethniques entre les combattants de Taylor et les soldats ivoiriens intégrés au NPFL qui, comme Gueï, étaient originaires de Gouessessou, au nord de la ville de Man. Ces relations cordiales se poursuivirent après la mort d’Houphouët et, au milieu des années 1990, la Côte d’Ivoire jouait un rôle essentiel tant dans le négoce des produits libériens que dans l’approvisionnement en armes de Taylor. Ces liens ne pouvaient que se resserrer davantage lorsque Gueï devint le chef de la junte militaire après le renversement d’Henri Konan Bedié en décembre 1999. Comme chef d’État, Gueï pouvait fournir des armes et du matériel militaire au président libérien qui, quant à lui, le pourvoyait en troupes fidèles issues des rangs du Ruf et du NPFL. Nombre de ces combattants (on en ignore le nombre exact) furent placés dans une unité d’élite, les Brigades rouges, relevant de la garde présidentielle.Durant la période Houphouet Boigny (1960- 1993), et notamment dans les années 1980, lorsque Charles Taylor apparu&nbsp; sur la scène politique libérienne, les deux pays etaient comme allies. La partie ouest de la Côte d’I v o i re a ainsi joué un rôle essentiel dans la première guerre civile libérienne (1989-1997), offrant à la fois une voie de passage pour les armes et un centre de négoce pour le Front national patriotique du Liberia (NPFL) de Charles Ta y l o r. Y avaient trouvé refuge des Libériens qui fuyaient leur pays et s’opposaient à Ta y l o r, notamment des représentants du groupe ethnique krahn, dans le comté du Grand-Gedeh, qui cherchaient à échapper à l’instabilité politique dans les années 1980, puis à la guerre civile à partir de 1989.

&nbsp;La guerre civile libérienne a eu des effets collateraux sur la Côte d’Ivoire, la dynamique de régionalisation de l’insécurité en Afrique de l’Ouest s’est déclenchée en 1989 lorsque Charles Taylor, a lancé une rébellion armée contre la ''dictature'' de Samuel Doe au Liberia. La guerre civile libérienne (1989-1997) a opposé les forces gouvernementales du président S. Doe, majoritairement composés de Khrans, aux forces rebelles du National Patriotic Front of Liberia (NPLF) conduit par Charles Taylor et issues en majorité de l’ethnie Gio. Le conflit a rapidement pris une tournure « ethnique » avec pour conséquence beaucoup d’exactions dans les deux camps à l’encontre de la population civile. Le conflit libérien s’est rapidement exporté dans l’ouest de la Côte d’Ivoire par un jeu complexe d’alliances mais aussi à cause d’une interpénétration « ethnique » entre les deux pays. L’articulation entre les deux conflits remonte au temps d’Houphouet Boigny. À la fin des années 1980, le ''vieux'' a soutenu C. Taylor dans sa lutte contre le régime de Samuel Doe, via son chef d’état-major Robert Gueï, en lui fournissant des moyens logistiques et militaires. Ces relations se sont poursuivies après la mort d’Houphouet Boigny et même renforcées avec l’accession au pouvoir de Charles Taylor au Liberia en 1997 puis celle de Robert Gueï en Côte d’Ivoire après le putsch militaire de 1999. Robert Gueï fournissait des armes et du matériel militaire à Taylor, qui, en retour, lui procurait des combattants issus du NPLF et du groupe rebelle sierra-leonais Revolutionnary United Front (RUF), dont il contrôlait certaines factions. Nombre de ces combattants ont été placés dans une unité d’élite, les fameuses « Brigades rouges » ou « Cosa Nostra », qui faisaient la loi à Abidjan. Selon l’International Crisis Group (ICG) un « pacte » aurait même été conclu entre Gueï et Taylor : ce dernier soutiendrait Gueï dans sa tentative de coup d’État en cas d’échec aux élections présidentielles d’octobre 2000 en Côte d’Ivoire en échange d’un soutien militaire et logistique32. Toujours selon l’ICG, il semble que déjà avant les élections, des soldats de R. Gueï aient entraîné des combattants libériens ainsi que des éléments du RUF et des soldats du Burkina Faso dans l’est du Liberia33. La défaite de R. Gueï aux élections présidentielles activa la rébellion libérienne pro-Gueï contre le nouveau régime de Laurent Gbagbo. La tentative de coup d’État menée depuis le Liberia et l’ouest ivoirien se transforma en rébellion militaire et se poursuivit après la mort de Gueï en septembre 2002. Dans le but de faire tomber Gbagbo, Charles Taylor contribua non seulement à la création, mais aussi à l’entraînement et l’armement, de deux mouvements rebelles de l’ouest ivoirien : le MPIGO et le MJP. Selon un rapport de Global Witness, ces deux groupes rebelles seraient composés « à 90% des mercenaires libériens et sierra léonais, pour la plupart provenant de l’ancien RUF ou des forces de sécurité de Taylor » 34 . De son côté, Laurent Gbagbo avait établi dès les années 1980 des contacts avec le régime de Samuel Doe et son entourage proche. Après son arrivée au pouvoir, il utilisa ces liens pour riposter aux attaques de Taylor en aidant à la fois financièrement et militairement le mouvement libérien du LURD (Liberians United for Reconciliation and Democracy), un mouvement rebelle formé en 1999 afin de s’opposer au pouvoir de Taylor. Ici encore, l’interpénétration « ethnique » entre l’ouest ivoirien et l’est libérien a favorisé ce rapprochement. Beaucoup de libériens vivant dans l’ouest de la Côte d’Ivoire sont des Kranhs, l’ethnie de Samuel Doe. Ils sont allés se réfugier dans la région des Guéré après l’accession au pouvoir de C. Taylor. Or les populations Guéré de Côte d’Ivoire sont souvent décrites comme les « cousins » des Khrans du Liberia dont elles partagent la langue.


Dernière modification par Eburneenne 3 le mars 13, 17 4:21 am, modifié 1 fois.
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Message par Beauté Nubienne » mars 13, 17 7:23 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Eburneenne 3</b>:</font>
 
Soeur Ebur est ce que tu sais que dans le pacte colonial de de gaulle que Houphouet a signé tout ce 5 mètres sous le sol n'appartient pas aux Ivoiriens... c'est la propriété de la France !
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Re:Le paradoxe negre

Message par Beauté Nubienne » mars 13, 17 7:28 pm

http://reseauinternational.net/grave-re ... africains/

Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains


La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.

Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.

Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.

Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres: le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.

La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.

Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.

http://www.cameroonvoice.com/news/artic ... 27475.html

https://www.youtube.com/watch?v=rsVxis2tV6Y
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Re:Le paradoxe negre

Message par Beauté Nubienne » mars 13, 17 7:39 pm

Le saviez-vous ? 14 pays africains contraints par la France à payer l’impôt colonial pour les “avantages” de l’esclavage et de la colonisation
Par Mawuna Remarque Koutonin

Mondialisation.ca, 20 février 2014
siliconafrica.com
Url de l'article:

http://www.mondialisation.ca/le-saviez- ... on/5369840

Foccart & Houphouet-Boigny
Photo : Foccart & Houphouet-Boigny, les pères fondateurs de la françafrique

Le saviez-vous? Aujourd’hui encore, beaucoup de pays africains continuent de payer un impôt colonial en France, et ce malgré l’indépendance !

Lorsque Sékou Touré de Guinée décida en 1958 de sortir de l’empire colonial français, et opta alors pour l’indépendance du pays, l’élite coloniale française à Paris était s’est indignée, et dans un acte de fureur historique, demanda à son administration alors en place en Guinée de détruire, dans tout le pays, ce qui représentait, à leur yeux, les avantages de la colonisation française.

Trois mille Français quittèrent le pays, en prenant tous leurs biens et détruisant tout ce qui ne pouvait être déplacé: les écoles, les crèches, les bâtiments de l’administration publique furent détruits, les voitures, les livres, les médicaments, les instruments de l’institut de recherche, les tracteurs ont été écrasés et sabotés; les chevaux, les vaches dans les fermes ont été tués, et les nourritures entreposées furent brûlées ou empoisonnée.

Le but de cet acte scandaleux était bien évidemment, d’envoyer un message clair à tous les autres colonies sur les conséquences du rejet de la France.

Le fait est que peu à peu, la peur s’empara des Élites Africaines, et après ces événements aucun autre pays ne trouva jamais le courage de suivre l’exemple de Sékou Touré, dont le slogan était “Nous préférons la liberté dans la pauvreté à l’opulence dans l’esclavage”.

Pour les pays nouvellement indépendant il fallut trouver des compromis avec la France. Sylvanus Olympio, le premier président de la République du Togo, un petit pays d’ Afrique de l’Ouest, trouva une solution susceptible de calmer les Français :

Ne voulant pas continuer à subir une domination française, il refusa de signer le pacte colonisation proposé par De Gaule, mais accepta en contrepartie de payer une dette annuelle à la France pour les soi-disant avantages obtenus lors de la colonisation française.

Ce furent les seules conditions de la France pour ne pas détruire le pays avant de partir. Toutefois, le montant estimé par la France était si grand que le remboursement de la soi-disant « dette coloniale » était proche de 40 % du budget du pays en 1963.

Dès lors, la situation financière du Togo tout juste indépendant fut très instable, et afin de se sortir de cette situation, Olympio décida de sortir du système monétaire mis en place par la France coloniale le FCFA ( franc des colonies françaises d’Afrique ), et créa la monnaie du pays.

Le 13 Janvier 1963, trois jours après , qu’il ai commencé à imprimer les nouveaux billets, une escouade de soldats (soutenus par la France) s’empara et tua le premier président élu de l’Afrique indépendante : Olympio fut exécuté par un ex Légionnaire français, le sergent de l’armée Etienne Gnassingbé qui, au passage, reçu à ce moment une prime de 612 dollars de l’ambassade française locale pour le succès de sa mission.

Le rêve de Olympio était de construire un pays indépendant et autonome. Mais l’idée ne correspondait pas aux volontés françaises.

Le 30 Juin 1962, Modiba Keita, le premier président de la République du Mali , décida également de se retirer du système monétaire FCFA ( imposé à 12 pays africains nouvellement indépendants ).

En effet, pour le président malien, qui se penchait plus vers une économie socialiste, il était clair que la colonisation qui perdurait avec ce pacte avec la France, devenait un piège, un fardeau pour le développement du pays.

Le 19 Novembre 1968, comme, Olympio, Keita sera victime d’ un coup d’état menée par un autre ex légionnaire français des Affaires étrangères, le lieutenant Moussa Traoré.

De fait, durant cette période turbulente où l’Afrique combattait à se libérer du joug de la colonisation européenne, la France usera à nombreuse reprises de mercenaire anciennement affiliés à la légion étrangère pour réaliser des opérations coup de poings contre les présidents nouvellement élus :

Au 1er Janvier 1966, Jean- Bedel Bokassa, ex légionnaire français, portait un coup d’état contre David Dacko, le premier président de la République centrafricaine.

Le 3 Janvier 1966, Maurice Yaméogo, le premier président de la République de Haute-Volta, aujourd’hui appelé Burkina Faso, a été victime d’un coup porté par Aboubacar Sangoulé Lamizana, un ex légionnaire français qui a combattu avec les troupes françaises en Indonésie et en Algérie contre ces pays l’indépendance

Le 26 Octobre 1972 Mathieu Kérékou qui était un garde de sécurité au président Hubert Maga, le premier président de la République du Bénin, a porté un coup d’état contre le président, après avoir fréquenté les écoles militaires françaises de 1968 à 1970.

En fait , au cours des 50 dernières années, un total de 67 coups état qui se sont passés dans 26 pays en Afrique, 16 de ces pays sont des ex- colonies françaises, ce qui signifie que 61 % des coups d’états en Afrique ont été initiés dans d’anciennes colonies françaises.

Nombre de Coups en Afrique par pays
Ex colonies françaises

Autres pays africains

Pays

Nombre de coup d’état

Pays

Nombre de coup d’état

Togo

1

Egypte

1

Tunisia

1

Libye

1

Cote d’Ivoire

1

Equatorial Guinea

1

Madagascar

1

Guinea Bissau

2

Rwanda

1

Liberia

2

Algeria

2

Nigeria

3

Congo – RDC

2

Ethiopia

3

Mali

2

Ouganda

4

Guinea Conakry

2

Soudan

5

sous-TOTAL 1

13

Congo

3

Tchad

3

Burundi

4

Central Africa

4

Niger

4

Mauritania

4

Burkina Faso

5

Comores

5

sous-TOTAL 2

32

TOTAL (1 + 2)

45

TOTAL

22



Comme ces chiffres le démontrent, la France est tout à fait désespérée, mais active à conserver une forte emprise sur ses colonies peu importe comment, peu importe le prix.

En Mars 2008, l’ancien président français Jacques Chirac a déclaré:

«Sans l’Afrique, la France va glisser vers le bas dans le rang de troisième puissance [ du monde ] “

Le prédécesseur de Jacques Chirac François Mitterrand déjà prophétisé en 1957 que : «Sans l’Afrique, la France n’aura pas d’ histoire au 21e siècle”

En ce moment même où j’écris cet article , 14 pays africains sont obligés par la France , à travers le pacte colonial , de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sous le contrôle du ministère des finances français. Jusqu’à maintenant , en 2014, le Togo et environ 13 autres pays africains doivent encore payer la dette coloniale en France . Les dirigeants africains qui refusent sont tués ou victimes de coup d’état . Ceux qui obéissent sont soutenus et récompensés par la France grâce à style de vie somptueux, tandis que leurs populations endurent la misère et le désespoir.

Un tel système maléfique, est dénoncé par l’Union européenne, mais la France n’est pas prête à se passer de ce système colonial qui lui offre une trésorerie d’environ 500 milliards de dollars en provenance de l’Afrique, et ce par année.

Nous accusons souvent les dirigeants africains de corruption et de servir les intérêts des nations occidentales, mais il y a une explication claire de ce comportement . Ils se comportent ainsi parce qu’ils ont peur d’être tués ou d’être la victime d’un coup d’état. Ils veulent s’allier à une nation puissante pour se sauvegarder en cas d’agression ou de difficultés. Mais, contrairement à une protection amicale, la protection de l’Ouest est souvent offert en échange du renoncement à servir leur propre peuple ou les intérêts des nations.

Les dirigeants africains travailleraient dans l’intérêt de leur peuple s’ils n’étaient pas constamment harcelés et intimidés par les pays coloniaux.

En 1958 , effrayé des conséquences de son choix d’indépendance face à la France , Léopold Sédar Senghor a déclaré: « Le choix du peuple sénégalais, c’est l’indépendance, ils veulent qu’elle ait lieu seulement dans l’amitié avec la France , pas en litige. “

Dès lors la France a accepté qu’une « indépendance sur le papier” pour ses colonies , mais a signé en parallèle des ” accords de coopération “, précisant la nature de leurs relations avec la France, en particulier les attaches envers la monnaie ( le Franc ), le système éducatif français, les ententes militaires et les préférences commerciales.

Voici les 11 principales composantes de la poursuite du pacte de colonisation depuis les années 1950 :

1 . La dette coloniale pour les avantages de la France colonisation

Les pays nouvellement «indépendants» doivent payer pour l’infrastructure construite par la France dans le pays pendant la colonisation.

Je dois encore trouver les détails sur les montants, l’évaluation des avantages coloniaux et les conditions de paiement imposées aux pays africains, mais nous y travaillons ( nous aider avec des informations ).

2 . Confiscation automatique des réserves nationales

Les pays africains doivent déposer leurs réserves monétaires nationales en France à la banque centrale.

La France a tenu des réserves nationales de quatorze pays africains depuis 1961 : Bénin, Burkina Faso, Guinée- Bissau, Côte-d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal, Togo, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Congo -Brazzaville, la Guinée équatoriale et le Gabon.

La politique monétaire régissant un tel regroupement diversifié de pays est simple car il est, géré par le Trésor français , sans en référer aux autorités fiscales centrales comme l’UEMOA ou de la CEMAC. Selon les termes de l’accord qui a été mis en place par la banque centrale du CFA, chaque Banque centrale de chaque pays africain est obligée de garder au moins 65 % de ses réserves de change dans un « compte d’opérations » tenu au Trésor français, ainsi qu’un autre 20 % pour couvrir les passifs financiers.

Les banques centrales CFA imposent aussi un plafond sur le crédit accordé à chaque pays membre à l’équivalent de 20 % des recettes publiques de ce pays sur l’année précédente. Même si la BEAC et la BCEAO ont une facilité de découvert auprès du Trésor français, les traites sur les facilités de découvert sont sous réserve du consentement du Trésor français. Le dernier mot est celui de la Trésorerie française qui a investi les réserves étrangères des pays africains en son propre nom à la Bourse de Paris.

En bref , plus de 80% des réserves de change de ces pays africains sont déposées dans les « comptes d’opérations » contrôlés par le Trésor français . Les deux banques CFA sont africaines de nom, mais n’ont pas de politiques monétaires propres. Les pays eux-mêmes ne savent pas, ne sont pas informés, à hauteur de combien la réserve de change détenues par le Trésor français leur appartient en tant que groupe ou individuellement.

Les gains de l’investissement de ces fonds du Trésor français sont censés être ajouté à la réserve de change, mais il n’y a pas de comptabilité transmise aux banques ou aux pays, ni les détails de ces modifications. « Seul un groupe restreint de hauts fonctionnaires du Trésor français connaissent les montants figurant dans les « comptes d’opérations » où ces fonds sont investis ; si il y a un bénéfice sur ces investissements ; ils ont interdiction de divulguer ces informations aux banques CFA ou aux banques centrales des états africains. ” écrit le Dr Gary K. Busch

Il est estimé que la France gère près de 500 milliards d’argent africain dans sa trésorerie, et ne fait rien pour mettre un peu de lumière sur ce côté sombre de l’ancien empire.

La finalité reste : Les pays africains n’ont pas accès à cet argent.

La France leur permet d’accéder à seulement 15 % de leur argent par an. S’ils ont besoin de plus, les pays africains doivent emprunter, à des taux commerciaux, sur les 65% de leur argents détenu au Trésor français.

Pour rendre les choses plus tragiques , la France impose un plafond sur le montant de l’argent que les pays peuvent emprunter à la réserve . Le plafond est fixé à 20 % de leurs recettes publiques de l’année précédente. Si les pays ont besoin d’emprunter plus de 20% de leur propre argent, la France a un droit de veto.

L’ancien président français Jacques Chirac a récemment parlé de l’argent des pays africains dans les banques en France. Voici une vidéo qui parle du système d’exploitation français. Voici une courte transcription de l’extrait : “Nous devons être honnêtes et reconnaître qu’une grande partie de l’argent dans nos banques viennent précisément de l’exploitation du continent africain”.


https://www.youtube.com/watch?v=OzPITL1WLY0



3 . Droit de priorité sur toute ressource brute ou naturel découvert dans le pays

La France a la priorité en matière d’achats de toutes les ressources naturelles de la terre de ses ex- colonies. C’est seulement un refus de celle-ci que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires.

4 . Priorité aux intérêts et aux entreprises françaises dans les marchés publics et constructions publiques

Dans l’attribution des marchés publics , les entreprises françaises doivent être considérées en premier lieu, et seulement après les marché étrangers sont considérés. Le fait que les pays africains pourraient obtenir une meilleure offres financière ailleurs n’est pas prit en compte.

En conséquence, dans la plupart des ex- colonies françaises, toutes les plus grosses compagnies et acteurs économiques sont dans la main des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics – eau, électricité, téléphone, transports, ports et les grandes banques. Idem dans le commerce, la construction et l’agriculture.

En fin de compte, comme je l’ai écrit dans un précédent article, les Africains vivent maintenant sur un continent possédé par les Européens !

5 . Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des pays

Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les « accords de défense » attachés au pacte colonial, les africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs de formation en France ou dans des infrastructures militaires françaises.

La situation sur le continent est telle que la France a formé et nourris des centaines, voire des milliers de traîtres. Ils sont en sommeil tant qu’ils ne sont pas nécessaires, et activés en cas de besoin pour un coup d’état ou à d’autres fins !

6 . Droit pour la France de pré-déployer des troupes et intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts

Sous la dénomination « Accords de défense » attachés au pacte colonial. La France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans des bases et installations militaires, entièrement géré par les Français.



Les bases militaires françaises en Afrique


http://www.africa-libre.com/images/stor ... africa.png

Lorsque le président Laurent Gbagbo de Côte d’Ivoire a tenté de mettre fin à l’exploitation française du pays, la France a organisé un coup d’état. Durant le long processus pour chasser Gbagbo du pouvoir, les tanks français, les hélicoptères de combat et les forces spéciales sont intervenues directement dans le conflit, ont tiré sur des civils et tué beaucoup d’entre eux.

Pour ajouter l’injure à l’insulte, la France estime que la communauté d’affaires française a perdu alors plusieurs millions de dollars lors de la ruée pour quitter Abidjan en 2006 (où l’armée française a massacré 65 civils non armés et blessé 1200 autres.)

Après la réussite du coup d’état par la France, et le transfère de pouvoir à Alassane Ouattara, la France a demandé au gouvernement Ouattara de verser une indemnité à la communauté d’affaires française pour les pertes pendant la guerre civile.

Du fait, le gouvernement Ouattara leur a payé le double de ce qu’ils ont dit qu’ils avaient perdu en quittant.

7 . Obligation de faire du français la langue officielle du pays et de la langue pour l’éducation

Oui , monsieur. Vous Devez parler français, la langue de Molière ! La langue française et une organisation de la diffusion de la culture a été créé. Appelé «Francophonie» qui regroupe avec plusieurs branches et organisations affiliées toutes contrôlées par le ministre français des Affaires étrangères.

Comme démontré dans cet article, si le français est la seule langue que vous parlez, vous auriez accès à moins de 4% de la connaissance de l’humanité et des idées. C’est très limitant.

8 . Obligation d’utiliser la l’argent de la France coloniale le FCFA

C’est la véritable vache à lait pour la France, un tel système maléfique, est dénoncé par l’Union européenne, mais la France n’est pas prête à se passer de ce système colonial qui lui offre une trésorerie d’environ 500 milliards de dollars en provenance de l’Afrique, et ce par année.

Lors de l’introduction de la monnaie euro en Europe, d’autres pays européens ont découvert le système d’exploitation français . Beaucoup, en particulier les pays nordiques, ont été consternés et ont suggéré à la France se débarrasser du système, mais sans succès.

9 . Obligation d’envoyer le rapport annuel France du solde et de réserve

Sans le rapport, pas d’argent. Quoi qu’il en soit le secrétaire des banques centrales des ex- colonies, et le secrétaire de la réunion bi-annuelle des ministres des Finances des ex- colonies est effectué par la France banque centrale / du Trésor.

10 . Renonciation à entrer en alliance militaire avec tout autre pays , sauf autorisation par la France
Les Pays africains en général sont ceux avec le moins d’alliance militaires inter-etat. La plupart des pays ne disposent que d’alliances militaires avec leurs ex- colonisateurs ! ( drôle, mais vous ne pouvez pas faire mieux! ).

Dans les cas où ils souhaiteraient une autre alliance, la France les gardent bien de le faire.

11 . Obligation de s’allier avec la France en situation de guerre ou de crise mondiale

Plus d’un million de soldats africains se sont battus pour la défaite du nazisme et du fascisme pendant la seconde guerre mondiale.

Leur contribution est souvent ignorée ou minimisée, mais quand vous pensez que cela a pris seulement 6 semaines pour l’Allemagne pour vaincre la France en 1940, la France sait que les Africains pourraient être utiles pour conserver la « Grandeur de la France ” à l’avenir.

Il y a quelque chose de quasiment psychopathe dans la relation de la France avec l’Afrique.

Tout d’abord, la France est gravement accro au pillage et à l’exploitation de l’Afrique depuis l’époque de l’esclavage. Ensuite, il y a ce manque complet de la créativité et de l’imagination de l’élite française à penser au-delà du passé et de la tradition.

Enfin, la France dispose de 2 institutions qui sont complètement gelés dans le passé , habitées par des paranoïaques et psychopathes ” les hauts fonctionnaires ” qui répandent la crainte l’apocalypse si la France devait être amenée à changer, et dont la référence idéologique vient toujours du romantisme du 19ème siècle. Ils sont : le ministre de la Finances et du Budget de la France et le ministre des affaires étrangères de la France.

Ces deux institutions ne sont pas seulement une menace pour l’Afrique, mais pour les Français eux-mêmes.

C’est à nous que revient de libérer l’Afrique, sans demander la permission, parce que je ne peux toujours pas comprendre par exemple comment 450 soldats français en Côte d’Ivoire pourraient contrôler une population de 20 millions de personnes?

La première réaction des personnes lorsqu’ils apprennent l’existence de l’impôt colonial français est souvent une question: « Jusqu’à quand “

A titre de comparaison historique, la France a fait payer à Haïti l’équivalent moderne de 21 milliards de dollars de 1804 à 1947 ( près d’un siècle et demi ) pour les pertes causées aux marchands d’esclaves français suite à l’ abolition de l’esclavage et à la libération des esclaves haïtiens.

Les pays africains paient la taxe coloniale depuis les 50 dernières années, donc je pense un siècle de paiement pourrait être de trop.

Mawuna Remarque Koutonin

Article original : http://www.siliconafrica.com/france-colonial-tax/

Traduit par l’équipe communication du Collectif Map

https://www.facebook.com/dossou.gaglozoun
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Re:Le paradoxe negre

Message par Eburneenne 3 » mars 13, 17 8:27 pm

Merci du fond du coeur ma tres chere Beaute nubienne pour ces deux richissimes analyses sur le vampirisme francais en Afrique. C'est par l'entremise de negres de maison tels qu'Houphouet, Bongo pere et fils, Blaise Compaore, DAO rebelle 1er volmentu que de telles humiliations sont infligees a tout un continent par un tout petit pays appele la France. Tout ce que nous endurons actuellement en Côte d'Ivoire est du a l'accord de dupe que le premier sous/prefet Houphouet a passe avec ses maitres colons pour preserver ses interets mesquins et egoistes. En plus de l'impot colonial que nous payons a la France pour avoir tortures, assassines de maniere cruelle nos ancetres, nous versons jusqu'a present un loyer a la France pour notre palais presidentiel qui est sur notre propre territoire et pour bien d'immeubles administratifs.
Les Ivoiriens et partant les Africains doivent se debarasser du m'a-tu vuisme. Nous nous sommes assez amuses. Ca suffit, reveillons-nous!



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Message par Eburneenne 3 » mars 18, 17 4:55 am

Le franc cfa (franc des colonies francaises d'Afrique) est une monnaie d'inspiration nazie que les valets africains de la trempe de DAO rebelle 1er volmentu et Macky Sall louent ses bienfaits pour juste plaire a leurs maitres colons.https://www.facebook.com/plugins/video. ... ;width=560" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" allowfullscreen="true" frameborder="0" height="315" width="560">
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Message par Eburneenne 3 » mars 20, 17 7:05 pm

BENSOUDA PROCUREUR DE LA&nbsp; CPI ET SES AMIS TERRORISTES

GAMBIE, ROBERT GUEÏ ET LE BILLET D'AFRIQUE 2002

L’un des lieutenants de&nbsp; Charles Taylor, le Gambien Ibrahim Bah (alias “commandant Maurice”), servait '' d’homme de liaison entre les mercenaires francophones et anglophones dans la déstabilisation de l’Afrique de l’Ouest commanditée par la Libye'' (Le Monde, 23/11/2001). Au mieux avec les sinistres rebelles sierra-léonais du RUF et des diamantaires libanais, le voilà accusé des pires trafics, y compris d’un lien avec Ben Laden (cf. Billets n° 98). Ce n’est pas un passeport diplomatique burkinabè accordé par Blaise Compaoré qui pourrait suffire à le blanchir, vu la quantité de trafics que parraine le beau Blaise. En Côte d’Ivoire, le général Robert Gueï était l’intermédiaire des livraisons d’armes françafricaines à Taylor, par la zone frontière ivoiro-libérienne.&nbsp;

Blaise Compaoré&nbsp; a accordé un passeport ( 2003 ) à l'un des lieutenants de Charles Taylor, le Gambien Ibrahim Bah (alias “commandant Maurice”). Passé par les guérillas afghanes, il servait "d'homme de liaison entre les mercenaires francophones et anglophones dans la déstabilisation de l'Afrique de l'Ouest commanditée par la Libye". Au mieux, avec les sinistres rebelles du RUF et certains diamantaires, il aurait coordonné l'écoulement des diamants des uns vers les bureaux des autres, puis le marché d'Anvers." Notre voie 2003.https://www.facebook.com/plugins/post.p ... ;width=500" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" frameborder="0" height="380" width="500">
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Message par Eburneenne 3 » mars 27, 17 4:53 am

Banda Kani etait sur Afrique media le samedi 26 mars 2017&nbsp; pour encore mettre a nu le franc des colonies francaises d'Afrique (cfa).https://www.facebook.com/plugins/video. ... ;width=560" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" allowfullscreen="true" frameborder="0" height="315" width="560">
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