<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Eburneenne 3</b>:</font>
Sale temps pour les déstabilisateurs de Gbagbo de 2010
Jeudi 18 Janvier 2018 -Le procès du ministre d'État, ministre de la Défense et de ses trois
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coaccusés poursuivis pour des faits de "complot contre l'autorité de l'État" s'est poursuivi ce jour devant la cour d'assises après une suspension de 24 heures.
La journée de ce jeudi a été marquée par les réquisitoires du Conseil de l'État de Côte et du
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Parquet général.
Toutes les deux parties ont affirmé qu'il y avait effectivement "Complot contre l'autorité de l'État" à travers des démonstrations sans toute fois donner de preuves pour mettre les accusés en cause.
Pour eux, les quatre personnes devaient être retenir dans les liens de prévention.
L'avocat général a expliqué que des documents compromettant ont été retrouvés sur le ministre d'État et que tous les actes commis par l'accusé
Lida Kouassi font preuve de Complot contre l'autorité de l'État.
Selon lui, un coup d'État était effectivement en préparation depuis le Ghana pour renverser les institutions de l'État.
"L'accusé Lida Kouassi Moise a affirmé que le Commandant Abéhi, était l'homme idéal car le Colonel Gnatoa Katé Paulin était fichier par les services secrets français," a précisé le
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Parquet général.
Brou Serge Pacôme ne reconnais pas les faits qui lui sont reprochés.
Selon le Parquet, il est clairement apparu dans les débats que l'accusé a été associé pour la livraison d'une caméra et a pris part à l'enregistrement de la vidéo de prise de pouvoir.
"Il s'est associé à toutes les résolutions qui devaient renverser le pouvoir," a-t-il ajouté.
Zadi Gbaka Samuel, n'a pas contesté les faits, mais il prétend ignorer le projet de renversement des autorités ivoirienne.
"Zadi a été retrouvé avec Katé Gnatoa à Grand-Bassam alors qu'il se préparait à perpétrer un coup d'État," s'est justifié le
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Parquet général.
A la fin le
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Parquet général a requis à l'endroit des quatre accusés, la peine maximum de
20 ans parce qu'ils sont reconnus coupables des faits de crime contre l'autorité de l'État.
Il a demandé à la cour de ne pas se laisser distraire par les accusés et a souhaité qu'ils soient privés de leurs droits.
Wassimagnon, Abidjan
Au prochain