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Education afrocentrée, enfant, jeux, dessin animé, livre

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Hwenusu
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Education afrocentrée, enfant, jeux, dessin animé, livre

Message par Hwenusu » sept. 27, 12 4:13 pm

Questions sur l'éducation de nos enfants :


1- Selon vous quel devrait être le contenu éducatif des pays africains de la maternelle á l'université ?

2 - Comment doit-on éduquer la nouvelle génération et les suivantes á prendre la reléve ?

3- Qu'est ce que vous apprenez á vos enfants (filleuls, cousins, cousines, niéces et neveux...) aux leaders kamits de demain ?

4- De plus en plus de de parents africains aux USA préférent enlever leurs enfants du systéme éducatif national eurocentré et les former á la maison. Qu'est que vous en pensez ?
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Oj-9_B2K ... re=related[/youtube]

http://www.youtube.com/watch?v=94LWQT9Zyiw
http://www.youtube.com/watch?v=-vJvopz4 ... ure=relmfu
http://www.youtube.com/watch?v=Oj-9_B2K ... re=related





4- Quels matériels éducatifs utilisez-vous (livres, jeux, chansons, contes, films, vidéos, musique, alimentation...) ?




Merci


http://www.abidjantalk.com/forum/viewtopic.php?p=90836
Dernière modification par Hwenusu le oct. 23, 12 6:20 am, modifié 12 fois.
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Re:Education afrocentrée, enfant, jeux, dessin animé, livre

Message par Hwenusu » sept. 27, 12 4:34 pm

Bino & Fino - Un dessin animé africain

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=9f7RfJQHilo[/youtube]

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=zyIrevk6rKs[/youtube]
Dernière modification par Hwenusu le sept. 27, 12 4:42 pm, modifié 1 fois.
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Akwaaaaaa
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Message par Akwaaaaaa » sept. 28, 12 4:00 am

Dessins animes de Anago bodaaa-la, c'est ca votre panafricanisme-la???
Pardonnez n'apprenez pas la fraude 419 a nos enfants. Nigerian Scam 419!!!
Looooool !!!!!
Dernière modification par Akwaaaaaa le sept. 28, 12 4:00 am, modifié 1 fois.
Je vais Parler Gbeh Pian!!! Celui ki n'est pas content il na ka monter en bas pour descendre en Haut. Et puis il na ka mordre son dos !!!



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Hwenusu
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Re:Education afrocentrée, enfant, jeux, dessin animé, livre

Message par Hwenusu » sept. 28, 12 4:20 am

lol ! c'est vrai que quand on entend nigerian tout le monde serre son porte monnaie, mais ils font pas que des arnaques lol! il y en a qui font de bonnes choses, comme partout en Afrique d'ailleurs. il y en a qui construisent des maisons solution merdiques et d'autres qui voient loin.

C'est le seul dessin animé africain que j' ai trouvé sur le net. Donc si tu en connais d'autres s'il te plaît fais passé l' info.

sinon tu n'as pas répondu à mes questions, toutes les suggestions et critiques sont les bienvenues.
Dernière modification par Hwenusu le sept. 28, 12 4:34 am, modifié 1 fois.
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Tipa
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Message par Tipa » sept. 28, 12 4:46 am

Je reposte ici une contribution faite lors du cinquantenaire. Elle est encore d'actualité.


L’ECOLE IVOIRIENNE A LA LUMIERE DU CINQUANTENAIRE

Le constat :

24, 51% d’admission au BAC 2010, autour de 30% pour le brevet. Ces taux de réussite sont très bas, trop bas même au regard des ambitions que toute personne sensée devrait nourrir pour son pays qui commémore ses cinquante ans. Mais avons nous de l’ambition?
Depuis quelques temps, tous les ans c'est pareil, on n’en tire aucun enseignement et puis on recommence l'année d'après. Pire les adultes qui, à l’école ou au sein des familles, ont la responsabilité exclusive en matière d’éducation pensent « c’est bien fait, ils n’avaient qu’à étudier…
Or un examen ou un concours sont des évaluations, évaluations fondées sur les enseignements reçus. Au vu de ce pourcentage, il est patent que les enseignements donnés à notre jeunesse sont en total décalage par rapport à l'évaluation finale. Le bac ivoirien est réputé difficile parce qu'il est resté vertueux (dans sa conception) pendant que le système scolaire qu'il est supposé évaluer se complait dans un cercle vicieux depuis des décennies. Entre les grèves à répétition, la mauvaise pédagogie, la sauvagerie sur nos campus, la désorganisation au ministère, les fuites et autres tricheries organisées pas les acteurs mêmes du système... c'est un autre des miracles ivoiriens que nous atteignions même les 20%. Le contexte social, la crise politique et notre modèle de société font le reste. Quel message donnons nous à nos enfants quand la réussite est affichée au bout d'une kalachnikov, quand vendre son âme, son corps, son pays, sont devenus un sport national, quand les gardiens du temple sont eux-mêmes corrompus, quand l'Etat, conservateurs, refondateurs et rebelles confondus s'érigent en mafia pour plumer les citoyens? Tout commence par l'individu nous dit on. Or l'individu ivoirien est devenu menteur par habitude, tricheur par réflexe et voleur par mimétisme. S'il y a une rebellion qui vaille, c'est celle contre la médiocrité et le vice, s'il y a une refondation valable, c'est celle des mentalités!
La brutalité d’un tel constat ne surprend ni n’indigne plus personne, fort malheureusement.
L’école ivoirienne a perdu sa raison d’être. Elle ne se contente plus d’éduquer à l’occidental. Désormais, elle déstructure aussi les enfants qu’on lui confie, à un point tel que beaucoup d’entre eux en sortent pires qu’ils n’y étaient entrés.
L’une des raisons de ce mal tient à l’institution Ecole elle-même. Cette institution n’est ni secrète, ni discrète. Il ne peut en être autrement. Et c’est assurément là où le bas blesse souvent. Pour être le passage obligé de tous, l’école est toujours un sujet à part, le sujet parmi les sujets. Tout le monde y a son mot à dire, un coup d’œil, un grain de sel à y jeter, y compris ceux, quel que soit le niveau social, qui n’y connaissent ou n’y comprennent rien, et pour cause. Contrairement aux autres secteurs importants de notre communauté nationale, tout le monde y a au moins un proche sous la forme d’un enfant à éduquer, d’un parent parmi les enseignants ou d’un conjoint, personnel administratif… C’est pour cela que nous avons si mal à notre école. Nous en attendons beaucoup, trop, même le miracle, quand nous avons nous même échoué. Or nous lui apportons peu de soin. Le mal dont souffre l’école ivoirienne empire quand, depuis des décennies, tel un poisson, sa tête, l’université, pourrit sous nos yeux et dans l’indifférence généralisée.
Justement l’autre raison du mal être est que notre Education Nationale, manque… d’ambition ce, dès sa mort/naissance. On nous parle si souvent de moyens qu’on en oubli qu’au commencement était l’ambition qui nous a manqué. Le colon nous a laissé une école qui formait des commis, à son service. Qu’avons nous fait en son absence physique si ce n’est l’améliorer à la marge, toujours à son profit? L'apprentissage des langues se limite encore aujourd’hui à étudier le français, au détriment de nos langues nationales. Celui de la morale et de la sagesse, véritable ciment social, s'est résumé à bachoter Heidegger, Kant, Montesquieu… des noms aussi exotiques que les valeurs qu'ils évoquent nous sont lointaines. Occupés à nous nourrir de la pensée des autres, des pans entiers de nos valeurs se sont volatilisés avant même que nous n’essayions de les identifier comme telles. Les études médicales se sont contentées du corps, la où nos valeurs abandonnées prenaient également en compte l'esprit...
Or pendant tout ce temps, puisqu’il faut parler en terme de cinquantenaire s’il y a une préoccupation qui n’aurait jamais dû nous quitter, c’est celle contenue dans les questions suivantes, simples : qu’avons nous fait pour notre Education Nationale ? Que pouvons nous faire pour elle… collectivement ? Pour être plus terre à terre, c’est quoi l’école et en quoi elle peut être profitable à notre pays ?
Tel est l’enjeu de cette réflexion.

On se rassure en se disant que l’école est l’affaire de tous et que c’est collectivement que nous y arriverons. Pourtant ce que nous réussissons le mieux à faire, est de nous en servir, pas de la servir.
A l’image de ces politiques, tous bords confondus qui, du MEECI à la FESCI l’ont politisée, loubardisée en 1990, avant de la gangréner aujourd’hui.
A l’image de ces parents, oublieux que l’éducation est justement nationale et qu’elle ne se limite pas au choix des meilleurs établissements, parcours pour leurs enfants et meilleurs répétiteurs. A ceux-ci, il faut rappeler qu’il y a une vie avant et après l’école et que le succès ou l’échec de cette vie extra/péri scolaire a une incidence directe sur l’institution. Aucune école ne sauvera un enfant nourri à la sève du racket, du détournement paternel et/ou à celle de la prostitution, de la corruption maternelle.
A l’image de cette catégorie d’enseignants sans autres formes de vocation que celle de porter leur susceptibilité syndicale en bandoulière tout en franchissant, battus d’avance, le portail de leurs établissements. A ceux-là il convient de faire prendre conscience qu’ils sont investis de la mission d’accompagner leurs enfants sur le chemin de la vie. Ils doivent revêtir l’habit du maître, du modèle tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’établissement qui, s’il faibli, tue l’espoir qu’il incarne. Or, peut on laisser croire à notre jeunesse qu’il n’y a pas d’espoir, pas d’avenir ?
A l’image de ces élèves pour qui plus rien n’est sacré, peu habitués à l’interdit, pour lesquels les modèles ont cessé d’être les maîtres et les parents, et qui ne trouvent dans l’école qu’un autre terrain d’exercice de diverses formes d’incivilité. En ces derniers, il est urgent de tuer l’attirance pour la facilité, l'irrévérence pour faire naître celle de l’effort et de la citoyenneté.

Les propositions :
Comment garantir la réussite de tous pour le bien de la nation, la culture du patriotisme ?

Niveau national/gouvernemental
Fixation du cap, des objectifs nationaux à décliner localement. Au lendemain de la crise actuelle, il convient certes de consolider l’unité nationale, l’esprit républicain. Tout de même, pour être républicaine, l’école doit elle demeurer cette structure centralisée jalouse de ses prérogatives et craintive d’un délitement des notions mêmes d’Union de Discipline et de Travail ? Seul les objectifs généraux (esprit d’appartenance à une même nation, patriotisme, identité nationale, valeurs citoyennes, objectifs sociétaux, ouverture sur la région, le continent, le monde) sont à prendre en compte. La déclinaison en programmes pédagogiques doit se faire localement, mais sera discutée avec et validée par l’Etat sous la forme d’un contrat quadriennal ou quinquennal d’objectif. C’est l’Etat également qui, s’appuyant sur un corps d’inspection compétent, évalue l’exécution ou non de ces programmes ainsi que les établissements locaux.

Niveau territorial/local : région, département et mairie
Déclinaison des objectifs nationaux au niveau local. Comment les valeurs locales enrichissent, contribuent au pot commun nationale. Chaque région ou collectivité définit ses objectifs (dans le strict cadre arrêté au niveau national) sous forme de contrats quadriennaux ou quinquennaux discutés avec les autorités nationales, validés, puis soumis à inspections régulières par le corps des inspecteurs nationaux. Dans cette mesure il est urgent de mettre en place des Conseils Départementaux/Régionaux de l’Education Nationale : ils regrouperont tous les acteurs locaux de la chose éducative que sont l’Etat, la Région, le Département, la mairie, les enseignants, les parents et les élèves. C’est au sein de ces Conseils que doit se conduire avec l’indispensable réflexion autour des moyens et de la carte scolaire, celle que j’appelle de tous mes vœux : savoir refléter dans l’école républicaine les aspirations du terroir, verser sa contribution dans le pot commun national, notre richesse commune.

Niveau de l’école /couleur local
L’Ecole est composée d’établissements scolaires publics accueillants des filles et fils de la République confiés à des enseignants de l’Etat. Pour un fonctionnement efficace, il convient de les rattacher financièrement aux collectivités locales, Régions Département, Mairie. Ces collectivités doivent être dotées également de compétences en matière d’éducation : fort encrage dans le terroir (une école en pays baoulé, bété, sénoufo, abron… doit avoir son identité propre qu’elle versera comme contribution au pot commun national) autonomie dans le profil des établissements, la répartition des heures, la taille des classes, projets pédagogiques… dans le cadre général défini au niveau national.

Niveau parental/croyance dans l’école
Faire aimer et respecter l’institution à leurs enfants. Inculquer le respect des aînés, de la hiérarchie (Union, Discipline Travail), valoriser l’institution dans ce qu’elle est la voie principale vers l’accomplissement. Le parent s’associe à la gestion et à la réflexion autour de l’école, à son mot à dire dans l’instruction de son enfant, participe s’il le veut et s’il le peut à son financement (legs, dons, bénévolat…), apporte sa contribution pédagogique, au côté de l’équipe éducative…

Niveau du personnel enseignant/appartenance, appropriation
Enseignant : fierté d’appartenir à une corporation noble de bâtisseurs d’avenir, amour de son métier. Toutes les matières, des mathématiques aux langues, de l’informatique aux sciences, de l’éducation civique à l’éducation physique, doivent avoir une seule ligne de mire : mettre l’instruction clairement au service du sursaut national, de l’élévation de la qualité de vie, de l’inculcation du vivre ensemble et de l’ouverture sur la sous région, le continent et le monde. Lutte contre l’échec, valorisation de chaque élève. Aide à la découverte de soi, de sa vie…

Niveau administratif /professionnalisme, investissement dans l’humain
Le chef d’établissement a un rôle plus actif dans l’évaluation des enseignants, des enseignements en collaboration avec les inspecteurs nationaux. Il est en charge de la mise en application des programmes à travers un contrat d’établissement, s’appuyant à ce titre sur son corps enseignant. Son administration devra se mettre au service des objectifs. Le chef d’établissement évalue ses enseignants et son personnel administratif. Il garantie le bien être des élèves, des personnels. Rend son établissement agréable, un lieu où on prend plaisir à se rendre, débarrassé de toute violence.

Niveau de l’élève/compréhension, acceptation
Respect et compréhension de l’institution, croire en l’institution comme moyen le plus sûr de s’épanouir individuellement, de s’élever socialement, d’apporter quelque chose à la patrie. Doit comprendre qu’il vaut quelque chose et que ses difficultés ne sont pas insurmontables, que les voies sont diverses mais qu’il doit chercher et trouver la sienne.

En résumé, notre système, hérité de la colonisation, phagocyte complètement nos valeurs nationales, les rabaisse au point qu’il fait de nous des envieux de l’Occident. Tous nos parents et enfants qui meurent sur les océans sont des victimes directes de cette haine de soit et de ses propres valeurs. Il est grand temps que nous regardions dans notre ventre pour trouver notre centre et placer notre école en position de nous révéler à nous mêmes.

Tipiquement
Dernière modification par Tipa le sept. 28, 12 4:48 am, modifié 1 fois.
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Re:Education afrocentrée, enfant, jeux, dessin animé, livre

Message par Akwaaaaaa » sept. 28, 12 5:32 am

Reponse à Hwenusu:
 
Juste pour rigoler!!! Sinon dans le stream de videos ke tu proposes j'ai trouve kekechoz de fabuleusement interessant: les Math d'Ethiopie antique.Ludique et enrichissant !!!  Je remets ca pour k'on le voit tous Ca, ce sont des algorithmes qu'on a dans les calculatrices!!! http://www.youtube.com/embed/iYLJOvA4Hec" frameBorder=0 width=560 allowfullscreen>http://www.youtube.com/embed/V-LF10PLvwM?rel=0" frameBorder=0 width=560 allowfullscreen>http://www.youtube.com/embed/uXOTKidm7A0?rel=0" frameBorder=0 width=420 allowfullscreen>
Dernière modification par Akwaaaaaa le sept. 28, 12 5:32 am, modifié 1 fois.
Je vais Parler Gbeh Pian!!! Celui ki n'est pas content il na ka monter en bas pour descendre en Haut. Et puis il na ka mordre son dos !!!



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Message par Akwaaaaaa » sept. 28, 12 5:42 am

Reponse à Son Excellence Tipa:
 
L'analyse merite d'etre lue. C'est un sujet tres grave: tout notre systeme de valeurs est en lambeaux. Mais alors que proposent-ils dans une sphere ou nous ne controlons meme pas la redaction et l'edition de nos manuels scolaires??? 
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Re:Education afrocentrée, enfant, jeux, dessin animé, livre

Message par Hwenusu » oct. 20, 12 9:14 pm

UN AUTRE DESSIN ANIMÉ pour enfants et adultes !

Coconul

http://www.youtube.com/watch?v=0ZqJQPLB ... re=related

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=0ZqJQPLB ... re=related[/youtube]
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Message par Tipa » oct. 20, 12 11:18 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Akwaaaaaa</b>:</font>
 
Plus que tout et plus que jamais la décolonisation de l'école ivoirienne est urgente. J'ai été déçu que l'école ne figure pas parmi les thèmes retenus lors du cinquantenaire.
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Message par Princesse » oct. 21, 12 5:11 am

Le system educatif est tres important pour l'avenir du continent tout entier. En effet, le patriotisme, le vrai commence des l'enfance. Notre probleme a nous autres est que l'on ne nous a pas appris a etre fiere de notre pays, l'on ne nous a pas appris a aimer notre pays, a etre passionne de notre pays, de nos origines, de nos valeurs africaines. On ne nous a pas appris a mettre en valeur ce ke nous possedions, nous avons toujours ete captive par ce ke les otres avaient. Normal, nous avions des chefs d'etat ki avaient eux memes les yeux fixes sur l'occident. Du coup, nous avons tous grandi avec l'idee ke l'exterieur donc le blanc avait le meilleur de tout et que pour reussir nous devrions absolument etre en dehors du pays, l'on avait perce ke lorsk'on a fait l'europe ou les E.U. Comment explike ke des professionnels en CI, kitte le pays, kitte leur boulot decident de vivre en Europe snas papier, dans une galere pas possible T'as de profs o pays ki ont decide kitter le pays, aller en france et ki sont ojourd'hui vigiles. Nous n'aimons pas notre nation, l'amour de notre pays ne nous anime pas, normal ke nos chefs d'etat soient prets a brader le continent pour si peu.

Il fo emmener notre generation presente a etre fiere de son continent,de cette fierte naitra l'amour du pays. Il faut ke nos livres scolaires aient un but: emmener l'enfant a etre fiere de sa nation, raconter notre histoire: parler de l'egypte, parler de l'intelligence du noir, parler de son savoir....tous les savants, les philosophes dans nos livres scolaires sont blancs, l'enfant n'a d'otre choix ke d'associer l'intelligence au blanc...fo ke tout sa change.
Dernière modification par Princesse le oct. 21, 12 5:13 am, modifié 1 fois.
True Love is one of the rarest things to come by; once you do end up finding it treat is as if it was a treasure; because it is one of the most precious things to ever share with someone.



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