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PASquare
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Message par PASquare » juin 29, 17 4:22 pm

Reponse à Son Excellence Eburneenne 3:
 
Il ne s'agit pas de vociférer à longueur de journée sur Internet.Tu fais
quoi concrètement pour nous aider à nous sortir de cette
situation.Parce que si tu es assise en France (où tu as le minimum pour
vivre) à vociférer , c'est que tu es un plaisantin.Le combat, c'est sur
le terrain, en Afrique.Et ne me dit surtout pas, que tout le monde ne
peut pas être sur le terrain en Afrique. Si Si tout le monde doit être
sur le terrain ou à minima, passer au moins la moitié de son temps sur
le terrain.
Il faut réellement sentir le désastre sur place, le vivre
et venir ensuite faire tes théories sur Internet, et là je te prendrai
au sérieux.Les écrits, les vociférations sur Internet....ne suffisent
pas à combattre l'impérialisme. Tout appartient à l'impérialisme chez
nous : Banques commerciales, Banque Centrale, ponts,
employeurs.....tout, absolument tout.
Tu es certainement assise dans
une de leurs entreprises ce qui te permet de nourrir ta petite
famille.Alors, on fait comment lorsqu'on est autant cerné de toute part ?
Je
veux bien te suivre mais lorsqu'ils (les impérialistes) auront fermé
toutes les banques, pendant que toi tu es assise au frais la-bas au Zôtô
avec ton PC et ton Internet à vociférer, moi je fais comment ?
Viens nous allons vivre cette misère ensemble et là je te prendrai au sérieux !

------------------

J'attends une réponse claire aux points soulevés ci-dessus.
Pas de vociférations inutiles, nous parlons de choses adultes.
Nous ne sommes pas dans une cour de récréation.
Stop les révolutionnaires de salon qui ne proposent rien et qui sont assis en Europe pour faire des révolutions pour l'Afrique.
Minables irresponsables !


Dernière modification par PASquare le juin 29, 17 4:36 pm, modifié 1 fois.
"
L’honnêteté, la sincérité, la simplicité, l’humilité, la générosité, l’absence de vanité, la capacité à servir les autres - qualités à la portée de toutes les âmes- sont les véritables fondations de notre vie spirituelle.
"
- Nelson Mandela



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Message par Eburneenne 3 » juin 30, 17 4:38 am

L'une des méthodes traditionnelles du sous/prefet Houphouët etait de fomenter de faux complots.Le 18 février 1992 fut le dernier exemple en date.

LES LOUBARDS D'HOUPHOUET BOIGNY

''Le chef du régime s'etait, une fois de plus, opposé au mouvement pour la liberté en organisant un prétendu complot. Il etait plus souvent à Paris qu'à Yamoussoukro et livrait le peuple aux exactions des militaires et des voyous exécuteurs de ses ordres.'' mercredi, 8 Avril, 1992, ''l'Humanité''.

___________________________________________________________

Le temoignage que nous publions a été adressé à ''l'Humanité'' par une lectrice qui, pour des raisons de sécurité, a souhaité garder l'anonymat. Il porte sur le saccage de la cité universitaire par l'armée en mai 1991  et la provocation organisée contre la manifestation des démocrates en février. Ce récit montre ce qu'etait le régime d'Houphouët Boigny, souvent présenté comme un îlot de démocratie en Afrique: ''De retour de Côte-d'Ivoire après un séjour de neuf mois et à la suite de graves événements qui y ont eu lieu, notamment depuis le 18 février, je tiens, tout d'abord, à souligner l'espoir que l'opposition Ivoirienne, opprimée, emprisonnée, torturée, placait dans le peuple français pour rompre le silence sur la situation politique de ce pays que l'on nous a, à tort, présenté depuis des années comme une relative democratie sur le continent Africain.

«Pour nous en tenir aux principaux événements de ces derniers mois, nous rappellerons quelques faits:

Le 17 mai 1991, après un mouvement de protestation estudiantine, organisé à l'appel de la FESCI (Fédération étudiante et scolaire de Côte-d'Ivoire), à 2 heures du matin, les para-commandos entraient dans la cité universitaire de Yopougon (quartier d'Abidjan) pour se livrer aux pires exactions: viols d'étudiantes, tortures, arrestations. Profondément choquée, l'opinion publique et l'opposition, principalement constituée par le FPI (Front populaire ivoirien), le PIT (Parti ivoirien des travailleurs) et des syndicats d'étudiants et de professeurs, obtenaient la constitution d'une commission d'enquête.

''Cette commission fit son travail avec conscience, établissant la réalité des faits et désignant nommément les principaux instigateurs de l'«opération», présentée par le gouvernement comme une simple action de maintien de l'ordre. Les résultats de l'enquête ont été connus en début du mois de février. Félix Houphouët Boigny, président de la Côte d'Ivoire depuis l'indépendance, n'a pas trouvé mieux que de déclarer qu'il ne fallait pas compter sur lui pour prendre des sanctions, pour lui, la commission n'ayant pas établi qu'il y avait eu des morts, le reste n'était que peu de choses. Au même moment, il se trouvait à Paris pour décerner son prix de la paix à Nelson Mandela et à Frederik De Klerk. Il faut d'ailleurs souligner que  Félix Houphouët-Boigny etant toujours à Paris, le peuple ivoirien se demandait qui le gouvernait, si ce n'etait l'armée.''

''Le 18 février 1992, à l'initiative du Front populaire ivoirien, de la Ligue des droits de l'homme et de l'ensemble des organisations démocratiques, avait eu lieu à Abidjan une manifestation, autorisée, de protestation contre ce mépris du peuple Ivoirien, atteint dans sa jeunesse, son avenir. Alors que les manifestants défilaient dans l'ordre et le calme, des émeutiers ont saccagé les environs du palais de justice de la capitale.''

''Il faut savoir que depuis l'avènement du multipartisme, conquis de haute lutte en 1990, Houphouët, à qui son armée et la présence des parachutistes français sur le territoire Ivoirien ne suffisaient plus, paiyaient pour effectuer les pires besognes ce qu'en Côte d'Ivoire,  l'on appellait ses loubards. Ce sont eux qui avaient infiltré la manifestation du 18 février 1992, jour où Martial Ahipeaud, secrétaire général de la Fédération estudiantine, devait être jugé pour reconstitution d'une association dissoute, entre autres chefs d'inculpation, comme par hasard, ce jour-là, le palais de justice n'était pas gardé bien qu'il fut habituellement sous haute surveillance. Alors que la manifestation des démocrates était encore à plus de cinq cents mètres du palais, les voitures et les vitrines situées aux alentours avaient commencé à etre brûlees ou cassées. Lorsque son pouvoir etait menacé, l'une des méthodes traditionnelles d'Houphouët etait de fomenter de faux complots. Le 18 février 1992 etait le dernier exemple en date. Mais ce prétendu complot fut mal orchestré, car comment croire que les militants du FPI avaient brûlé la voiture et saccagé le domicile de leur propre secrétaire général, Laurent Gbagbo, et battu sa femme, Simone Gbagbo. Celle-ci a dû être hospitalisée durant plus d'une semaine, et elle a été transférée en fauteuil roulant en prison. Mais, surtout, ce vrai complot contre l'opposition a échoué, car son véritable objectif était l'élimination physique de Laurent Gbagbo, l'assassinat politique étant l'ultime solution habituellement appliquée par Houphouët, comme, par exemple, le 13 avril 1964, l'assassinat d'Ernest Boka, suite au complot dit du chat noir; la répression en 1970 dans la région de Gagnoa (sud-ouest de la Côte-d'Ivoire) où 4.000 personnes furent tuées, parmi lesquelles Gnagbe Kragbe, leader du Parti nationaliste éburnéen; le 29 janvier 1981, l'élimination dans un accident de voiture de Jean-Baptiste Mockey, ministre de la Santé. Et ce ne sont là que les cas les plus flagrants. A la suite de la manifestation du 18 février 1992, plus de trois cents arrestations ont eu lieu dans la seule ville d'Abidjan. Dans les jours qui suivirent, la répression fut impitoyable: matraquage, tortures et humiliations dans les commissariats, tirs à balles, utilisation de grenades. Il etait plus difficile d'estimer l'ampleur de la répression à l'intérieur du pays, mais elle ne fut pas moindre et il est, à l'heure actuelle, encore impossible de dénombrer les arrestations et les disparitions. Jugé, en dépit de son immunité parlementaire, pour flagrant délit de casse, Laurent Gbagbo a été condamné à deux ans de prison ainsi que le secrétaire de la Ligue ivoirienne des Droits de l'homme, Dégny Ségui. Martial Ahipeaud a été condamné à trois ans de prison, Simone Gbagbo à un an. Les journalistes d'opposition n'ont pas été épargnés et je pense en particulier à Georges Coffy, qui après quatre jours de coma a été transféré en prison la jambe plâtrée et également en fauteuil roulant, suite aux tortures qu'il avait subies. Mais en plus des personnalités emprisonnées, je pense à tous les anonymes arrêtés, torturés, emprisonnés. Ce n'est là qu'un résumé de la répression qui s'abattit sur le peuple Ivoirien. Qu'il me suffise de dire qu'en quittant la Côte-d'Ivoire, je n'ai pas pu saluer la moitié de mes amis parce qu'ils étaient en prison ou dans la clandestinité. Malgré plus de soixante ans de colonisation, la France bénéficiait encore dans ce pays de l'image du pays des droits de l'homme. Si les autorités parisiennes ne méritaient plus ou pas cette image, en revanche, le peuple français ne devait pas laisser l'immense espoir des Ivoiriens se perdre et mourir dans l'indifférence.»

(1) Houphouët-Boigny a transformé son village natal, Yamoussoukro, en palais délirant, flanqué d'une cathédrale, réplique de Saint-Pierre de Rome que le pape a inaugurée, au grand scandale de beaucoup de catholiques, en Afrique notamment. Le chef d'Etat y a son adresse officielle: BP 1, Yamoussoukro, Côte-d'Ivoire.

L'Humanité

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Message par Eburneenne 3 » juil. 01, 17 10:23 pm

LE PRIX HOUPHOUET BOIGNY DE LA PAIX, UNE PURE ARNAQUE OCCIDENTALE

Le prix Houphouet Boigny de la paix sponsorisé par l'UNESCO  est de la pure comedie et meme une insulte a la conscience Africaine. Felix Houphouet Boigny, ce grand valet et serviteur le plus fidele du colonialisme français en Afrique, et qui est l'auteur du genocide des Guébié a Gagnoa et des massacres au Sanwi; supporteur de rebellions et guerres civiles en Angola, au Nigeria (Biafra) et au Liberia, fomenteur de coup d'etat au Burkina Faso suivit d'assassinat de Thomas Sankara, ne peut pas avoir son nom sur un prix de la paix et  qui plus est basé a Paris, la capitale du colonisateur, coupable des pires crimes contre l'humanité en Afrique, c'est la raison pour laquelle Obama sachant que c'est de la poudre aux yeux a refusé cette plaisanterie, meme si lui-meme aussi ne merite aucun prix ayant attrait a la paix.
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Message par Eve » juil. 01, 17 10:33 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Eburneenne 3</b>:</font>
 
Je ne peux pas te suivre... l'avenir ne se construit pas sur la haine, la critique et la prière .... mais avec le talent et des actes ... il me semble que c'est trop difficile pour toi de comprendre ma phrase qui est au-dessus de ton quotient intellectuel extrêmement bas, je dirais 65- :)

Je suis VDR là, de prendre lecture d'un aigri qui ne connaît pas la Côte d'Ivoire et qui se la joue en lisant et retranscrivant des blogs ! :D
Dernière modification par Eve le juil. 01, 17 10:53 pm, modifié 4 fois.



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Message par Eburneenne 3 » juil. 01, 17 11:03 pm

Houphouet Boigny a vendu la lutte de la souverainete pour ses interets personnels et c'est le digne peuple de Cote d'Ivoire qui en paie les frais aujourd'hui avec sa main noire qui etait dans toutes les sales guerres qui etaient faites aux autres pays africains pour etre aime de ses maitres coloniaux.

Voici ce qu'Houphouet a refuse de faire par egoisme et par cupidite en eliminant systematiquement en tyran qu'il etait tous ceux qui s'opposaient a sa politique desastreuse comme c'est le cas pour ses heritiers du rassemblement des hauts destructeurs de la patrie (RHDP).

https://scontent-lga3-1.xx.fbcdn.net/v/ ... e=5A11CFB0" style="width: 540px; height: 540px;">
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Message par Eburneenne 3 » août 29, 17 11:44 am

Felix Houphouet Boigny etait le prototype du negre de service adule par les predateurs occidentaux, qui gaspillait l'argent du contribuable ivoirien dans de la vanite. Ces imperialistes aimaient bien Houphouet parce que c'etait un homme sans valeur, adepte de la corruption, des detournements de deniers publics et qui etait atteint d'un complexe d'imferiorite vis a vis de ses maitres colons a l'instar de DAO rebelle 1er volmentu.

Ou sont passes les milliards de dollars du contribuable Ivoirien qu'Houphouet a detourne et planque dans les banques occidentales???
https://www.facebook.com/plugins/video. ... ;width=560" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" allowfullscreen="true" width="560" height="315" frameborder="0">
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Message par Eburneenne 3 » oct. 15, 17 4:32 pm

LE DEVOIR MORAL DE LA JEUNESSE IVOIRIENNE ENVERS SANKARA

Le tristement célèbre president Houphouët-Boigny, nous le savons tous, a pris une part active dans la mise à mort du camarade-président Thomas Sankara. Après cette sale besogne, comme pour se plaire dans une gloriole macabre, il se vantait d'être "Le vieux crocodile qui bouffe les petits capitaines".
En vrai houphouëtiste, son fils politique Alassane Dramane Ouattara, pour justifier les gènes du larbinisme et de l'indignité hérités du porc de la nation, ne pouvait trouver mieux que de donner asile, gîte et couvert à l'assassin de Thomas Sankara parce que toute action posée par un chef d’état engage toujours, directement ou indirectement, son peuple, en faisant ainsi, ces dirigeants sans scrupules sont complices du meurtre de ce digne fils d'Afrique mais aussi complice de cette fumisterie d'adoption de son assassin dont il serait bienséant de ne plus jamais citer le nom parce que le camarade-président Thomas Sankara avait, avant tout, en vue l'intérêt des peuples d'Afrique, parce qu'il a travaillé activement à l'émancipation, à la dignité, à l'auto-détermination des Africains. Chaque militant du parti néocolonial PDCI devrait ressentir dans son cœur un remord, devrait sentir sa conscience le gronder car ayant été couvert d'un manteau d’opprobre par ses dirigeants fantoches et attaches a leurs longues panses d’éternels affames.

Digne fils d'Afrique assassines par deux larbins, esclaves de l’impérialisme: les sous-prefets Houphouet Boigny et Blaise Compaore.
https://scontent-iad3-1.xx.fbcdn.net/v/ ... D64"#ed_cl#
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Message par Eburneenne 3 » oct. 17, 17 1:57 am


HOUPHOUET ET SES FILLEULES

Pourquoi des déserteurs d'ethnie Gio (Libériens) sont allés se former au Burkina-Faso (Oui, toujours le Burkina) via la Côte d'Ivoire et pourquoi un célèbre préfet ivoirien à hébergé Moses Blah, Enock dogolea et Charles kpan??? Alors que&nbsp; certains dignitaires du Nimba Conty et les autresvivaient tranquillement à Danane (Cote d'Ivoire), Zouan-Hounien... Tout a ete organisé de la Cote d'Ivoire au temps du sous-prefet Houphouet&nbsp; des le début des attaques des différents posts frontaliers Luguatuo et Butuo pour la destabilisation du Liberia.. Taylor à même avoue que le seul qui l'avait finance, était Houphouët.

Houphouët Boigny soutenait William Tolbert, ancien président du Libéria; franc-macon et maitre de la loge libérienne. Il voulait aussi des attaches plus sérieuses avec le Burkina-Faso, pays avec un président révolutionnaire, d’où son assassinat pour faire place a la marionnette Blaise Compaore.

Chantal Compaoré est née en Côte d'Ivoire de Simone Vicens, qui avait des racines dans la Haute-Volta (actuel Burkina-Faso) et de Jean Terrasson Kourouma, fils né de relation extra-conjugale du Français administrateur colonial Jean Henri Terrasson de Fougères, qui a servi pendant de nombreuses années en tant que gouverneur du Soudan français. Sa famille était étroitement liée à celle de Félix Houphouët Boigny, le premier président de la Cote d'Ivoire,dont elle était la filleule .

Elle a rencontré le capitaine Blaise Compaoré, le 15 janvier 1985, au moment où il servait en tant que ministre d’état, ministre de la justice du Burkina-Faso, lors d'une visite du jeune officier militaire a Houphouët Boigny dans la capitale ivoirienne Abidjan.

Blaise et Chantal se sont mariés le 29 juin 1985, cinq mois après leur première rencontre. Selon la plupart des sources, le mariage avait été arrangé d'une manière ou d'une autre par Houphouët Boigny, qui voulait un allié au sein de l'aile gauche révolutionnaire du gouvernement du Burkina-Faso.&nbsp;

L'autre filleule en question n'est personne d'autre que Désirée "Daisy" Delafosse, la soeur adoptive de Chantal Terrasson de Fougères, Chantal Comparé pour nous; mariee a&nbsp; Adolphe Tolbert (fils de William R. Tolbert). Apres le coup d’état sanglant de Samuel Doe, Adolphe Tolbert, a juste eu le temps de s’enfermer dans une pièce pour tenter de téléphoner a Houphouët Boigny dont il a épousé la filleule. Son message de détresse est parvenu à destination. Mais, le chef de l’etat ivoirien avait décidé d’attendre le lever du jour pour envoyer des troupes au secours de son vieil ami. Il n’en a pas eu le temps car, sur le champ, William Tolbert a ete tué d’une balle dans la tête .

Peu de temps après, Désirée "Daisy" Delafosse se refugia au Burkina-Faso chez sa sœur Chantal Terrasson de Fougères Compaore.

Du coup, l'on comprend aisément pourquoi avec la bénédiction et le financement de fefal (Houphouet Boigny), des entrainements ont eu lieu au Burkina-Faso en vue de renverser Samuel Doe. Et, cela lui a été fatal ainsi qu'au Liberia.

Houphouet Boigny au mariage d'Adolphe Tolbert (fils du président William R. Tolbert) et de sa fille adoptive Désirée "Daisy"Delafosse.

https://scontent-iad3-1.xx.fbcdn.net/v/ ... e=5A689954" height="368" width="480">

Delafosse.

Dernière modification par Eburneenne 3 le oct. 17, 17 2:07 am, modifié 1 fois.
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Message par Eburneenne 3 » oct. 24, 17 4:47 am

HOUPHOUET-SAMUEL DOE : LA RUPTURE JUSQU A LA MORT

Dans la mort de son ami William Tolbert ; le sous-prefet Houphouet tenait déjà le mobile d une inconsolable désillusion, en même temps que d'une haine sans appel pour le jeune sergent chef qui avait montré tant de cruauté : Samuel Kanion Doe. Que s'est-il passé ?
Le fils ainé du président William Tolbert assassiné était marié a une fille de Jean Delafosse. Il était donc apparenté par alliance au sous-prefet Houphouët Boigny, tuteur de tous les enfants Delafosse depuis la disparition du premier président du CES de CI en juillet 1962. Pour cette raison, les nouvelles autorités de Monrovia avaient cru qu'Aldophus Benedict Tolbert s'etait retiré en Cote d'Ivoire au moment du coup d'état. En fait, il s'était réfugié a l'ambassade de France a Monrovia. Peut-être, connaissait-il personnellement l 'mbassadeur de France Louis Dolo. Il a ete e également aidé par Houphouët Boigny en personne. C était, en effet, l'ambassadeur de Cote d'Ivoire au Libéria Clément Kaul Meledje qui l'avait accompagné dans les locaux de l ambassade de France, trois jours après le coup d'état le 15 avril 1980 ; Quand au diplomate Français, il confirma que la décision de lui donner asile avait été prise sur instruction du gouvernement Francis après discussion avec leur sous-prefet Houphouët Boigny.

Environ deux mois plus tard, alors qu’Houphouët continuait de s’occuper de la question d'évacuation du fugitif, il apprit avec stupeur dans l'après-midi du samedi 14 juin 1980 que l'armée libérienne venait de faire irruption dans les locaux de l'ambassade de France pour arrêter son filleul. L’intervention eut lieu sans violence et la promesse d'un procès juste, annoncé a la radio libérienne alors que des exécutions massives se poursuivaient dans le pays. Dans la soirée du samedi 14 juin, Aldophus est conduit dans un camp militaire. Dès le lendemain 15 juin, son arrestation menace de déboucher sur une grave crise diplomatique. Le ministre des affaires étrangères libérien Gabriel Bacchs appuyant l'action de l'armée déclara que le fait d'abriter le fils du président etait clairement incompatible avec le statut diplomatique de l'ambassadeur de France , et que celui-ci ne pouvait plus jouir de la confiance du gouvernement et que Paris devait procéder a son rappel. Le sous-prefet Houphouët face à ces développements fut obligé de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Il rechercha le contact de Samuel Kanion Doe pour obtenir de lui la garantie d'épargner la vie du fils après avoir abrégé celle du père. Il prépara ensuite une réunion au sommet des chefs d'états de la Guinée, de la Sierra Leone, du Togo et du Liberia dès le lendemain. Ainsi, Samuel Doe rencontra à la faveur de l'arrestation du filleul d'Houphouet les président Houphouët Boigny , Sekou Toure, Siaka Stevens et Eyadema. Ce fut le premier contact avec le nouvel homme fort de Monrovia (et le seul).

Cependant, des membres de la famille confia que Benedict Aldophus a sans doute été assassiné le soir même de son arrestation avec célérité. Aldophus était un garçon remuant, fier de son statut de fils de président, capable de mépriser les autres, de les traiter avec hauteur, et qui n avait certainement pas cherché a composer avec ses ravisseurs, a les supplier pour obtenir leur pitié. Or, ceux-ci,fous de rage , excités par l'immense rancœur qu’ils avaient accumulée contre les Afro-Américains dont ils n'avaient subi qu’humiliations et brutalités pendant 133 années , n'étaient plus prêt a accepter le moindre indice d'un mépris quelconque. La famille jusqu’a ce jour n a jamais reçu la dépouille du malheureux et ignore donc tout des circonstances de son inhumation.
Sur la piste de l'aéroport ce 16 juin ; Doe avanca en treillis un pistolet et une grenade, une gourde et un couteau accroché a la ceinture. Un ministre ivoirien familier de Tolbert glissa à l oreille du sous-prefet Houphouët qu’il éprouvait de la répugnance à lui serrer la main, seulement deux mois après les faits de l’assassinat de leur ami: ''VOUS ALLEZ LUI SERREZ LA MAIN'' le coupe Houphouët de sa voix nasillarde , ''SACHEZ LE UNE BONNE FOIS POUR TOUTES : LA VENGEANCE EST UN PLAT QUI SE MANGE FROID''
Le nouveau venu est accueilli de façon très distingué et avec tous les égards du a son nouveau rang. Lorsqu’après la rencontre, Houphouët en arriva a la conviction que plus jamais on ne reverra Aldophus, il arrêta également l'idée qu’il ne reverra plus le sergent Doe . La suite on la connait, Houphouët aida a toutes les déstabilisations possibles contre ce régime depuis l'ouest ivoirien.
Récit :Arnaud-Didier Bauhsot Bedji
_____________________________________________

À l'intérieur comme à l'extérieur et même jusqu'en Angola, le sous-préfet Houphouët avait son nez de déstabilisateur un peu partout en Afrique.
HOUPHOUËT BOIGNY ÉTAIT LA PESTE QUI A LAISSÉ SES GERMES ET LE DIGNE PEUPLE DE COTE D'IVOIRE CONTINUE DE PAYER LE LOURD TRIBUT DE SES MÉFAITS.
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Message par Beauté Nubienne » oct. 25, 17 10:18 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>Eburneenne 3</b>:</font>
 
Thomas sankara n'est pas un digne fils d'Afrique. ... il a fait la guerre au Mali et à la Guinée de Sekou Touré.

Et son projet ultime était de s'accaparer, sapproprier de notre port de San Pedro......
L'argent n'a pas d'odeur mais ça se sent quand on n'en a pas !



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