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Re:Femme integre, digne, de convictions

Publié : mars 29, 17 9:35 pm
par Eve
<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>PASquare</b>:</font>
 
PASquare,PASquare,PASquare !!! Dko,Dko,Dko !!!!!!!!!! :)

Publié : mars 30, 17 4:56 am
par Eburneenne 3
On est ensemble Beaute nubienne jusqu'a la delivrance de notre cher pays, la Cote d'Ivoire des creatures immondes venus du Sahel.OVAJAB!!!

Publié : mars 30, 17 5:05 am
par Eburneenne 3
Simone Ehivet Gbagbo, digne combattante de la liberte et de la dignite de l'homme Africain bafouee par les vampires occidentaux et leurs negres de services.
Jamais dans l'histoire moderne de l'humanité, une femme n'aura autant combattu pour la démocratie,
Face à l'injustice,
Face à la manipulation,
Face aux calomnies,
Face aux coups bas,
Dans l'épreuve,
Dans la cruauté,
Dans l'inhumanité,
Dans l'incompréhension,
Avec courage,
Avec droiture,
Avec hauteur,
Avec Amour,
Avec dignite,
Avec integrite,
Une personne de vie,
Une personne de foi,
Une personne d'inspiration,
Un espoir pour la nation ivoirienne,
Un espoir pour l'Afrique...

Simone Ehivet Gbagbo, digne fille d'Afrique!!!https://www.youtube-nocookie.com/embed/t_0PF_Iz1UY" allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" width="560">

Publié : mars 31, 17 4:24 am
par Eburneenne 3
LE RÔLE DES MÉDIAS FRANÇAIS DANS LA DIABOLISATION DE LA PREMIÈRE DAME LEGITIME ET LEGALE DE LA COTE D'IVOIRE, SIMONE EHIVET GBAGBO

L’AFP en guerre contre Simone Ehivet Gbagbo


Alors qu’''il n'y a pas longtemps, c'était les mauvaises actions qui demandaient à être justifiées, aujourd'hui ce sont les bonnes.'' analysait Albert Camus. Cette réflexion s’applique à l’agence france presse–AFP, puisqu’''il est plus facile de raconter les histoires pour endormir les gens,'' selon le journaliste Belge Michel Collon, que d’avouer la vérité. Alors, la propension à la manipulation médiatique des masses devient un art. Cette manœuvre suspecte, douteuse et illicite, afin de faire changer l'avis des masses et les amener à faire ou penser ce que l’on souhaite, est le credo de l’AFP sur tous les continents pour satisfaire les intérêts géostratégiques et énergétiques de la France et de l’Occident. Mais l’Afrique en souffre tant. Simone Ehivet Gbagbo encore plus.


L’AFP–cocufiée au gouvernement

Fondée à Londres en 1944 par Pierre Bourdan pour le compte du Général de Gaulle, l’agence france presse est l’un des plus nuisibles media français. A sa mise en place, son statut lui exigeait de respecter la neutralité et le pluralisme, clef de confiance entre ses futurs clients et elle. Mais depuis, ni neutralité, ni pluralisme ne sont à son registre. Elle est devenue un habile instrument de manipulation des tendances.

Mamelle-mère de l’information en France depuis 1944, l’AFP dessert les media Français à 80% et un peu plus de ce pourcentage dans certains pays Africains copistes de ses dépêches de propagande qui est avec AP et reuters, les plus nuisibles agences de presse dans le monde.

Société d’Etat fonctionnant sous une loi de 1957, elle est administrée par un président directeur général non-membre du conseil d’administration de 15 membres qui le choisit. Ce conseil comprend 8 représentants des directeurs de journaux quotidiens largement subventionnés par l’etat francais; deux représentants de l’AFP élus “théoriquement” à bulletins secrets (?), deux représentants de la radio et de la télévision appartenant au gouvernement français sous la perfusion financière des ressources volees en Afrique et du contribuables français; trois représentants du gouvernement. L’un nommé par le premier ministre, un autre par le ministre des finances, et un troisième par le ministre des affaires étrangères.

Malgré le pluralisme de sa composition, l’AFP n’a pas une pensée plurielle. Elle divulgue une seule vérité, celle du gouvernement francais dont elle est le crachoir. Sur cette base, elle élabore la dictature de l’information sur l’unicité de la pensée. Une violation morale et intellectuelle des Français et de ceux qui s’appuient sur ses sources, puisque fournisseuse de la quasi intégralité de l’information fraîche dans tous les domaines dans ces pays. Cette subordination de L’AFP à l’etat francais montre qu’elle n’est ni neutre ni indépendante et encore moins objective dans le traitement de l’information qu’elle diffuse. La Côte d’Ivoire, mais surtout Simone Ehivet Gbagbo ont fait les frais de ce medium qui fait l’apologie de la dictature, du colonialisme, et du terrorisme.

Sacralisation des criminels Sahelo-Ivoiriens

Concernant l’Afrique, l’AFP a pris une posture dictatoriale et pratique une désinformation permanente qui a de graves conséquences sur la souveraineté des Etats Africains. Sans fluidité, ni neutralité, sa hiérarchisation de l’information en direction du continent est à essence coloniale. Du titre choisi à ce qui est omis expressément, en passant par le lead paragraphe, et les lignes phares perdues dans le contenu mais visible par la force des mots, tout est manipulation et désinformation.

Commentant les crimes survenus après et pendant le processus du coup d’Etat looooong de dix ans suscité, organisé, financé, piloté par la France, et perpétré en Côte d’Ivoire, l’AFP avait sciemment oublié de mentionner les crimes des rebelles sous le contrôle d'Alassane Dramane Ouattara et Soro Guillaume, tous deux crème de la crème du terrorisme d’Etat, et tous, à la solde de la France. Ainsi, sur sa liste de probables criminels de guerre les concepteurs et exécuteurs saheliens et nordistes de ces crimes n’y figurent pas.

En refusant de nommer les coupables, en omettant les faits, en sanctuarisant les criminels-ethno-radicaux, auteurs du génocide de Nahibli, ceux de l’assassinat de Guy André Kieffer, ou de Jean Hélène, et en continuant d’accuser Simone Ehivet Gbagbo comme étant l’inspiratrice des ''escadrons de la mort'' alors que Le monde et libération, journaux de référence française, ont été condamnés dans les deux dernières affaires par les tribunaux hexagonaux contre le couple présidentiel Ivoirien Laurent et Simone Gbagbo, l’AFP et les media copistes confirment qu’ils sont pleins d’histoires trompeuses et inexactes, et, en plus, pour ce qui est de la Côte d’Ivoire, portent une lourde responsabilité dans la défiguration de ce pays qui n’est plus ni un Etat, ni une nation. Un no man's land abandonné aux terroristes, aux microbes, ces ''bébés-assassins'' qui terrorisent les populations, volent, tuent avec une froideur digne des instructeurs daesh, sous l’œil complice voire admirateur des animateurs du dozoland de Ouattara.

Diabolisation de Simone Ehivet

Des criminels que l’AFP considèrent comme saints puisque servant ses employeurs, le capital deshumanisant. Alors, la déontologie, l’éthique, et les victimes de la barbarie française installée en Côte d’Ivoire,…elle s’en moque, Pas d’investigation. Elle tient une accusée, Simone Ehivet Gbagbo, à qui elle attribue injustement la responsabilité de tous les torts et toutes les fautes commises en Côte d’Ivoire. Pour cela, la campagne médiatique anti-Gbagbo se focalise sur elle.

Son image écornée, elle est perçue et décrite comme la ''dame de fer'',&nbsp; la ''dame de sang'', ''femme intransigeante'', ''sorcière'''&nbsp; celle qui ''tire les ficelles dans l’ombre'',&nbsp; du pouvoir, la ''présidente'', ''adepte des sectes du christianisme evangelique'' et d’autres qualificatifs peu reluisants comme ''Jézabel'', ''Messaline'' ou ''ogresse hantant les nuits'' selon la minable plume de Denis Kah Zion du chiffon rhdp, le nouveau réveil, aussi lâche que son mentor bacchus Konan Bédié.

Or, “mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde” disait Albert Camus. Ce qui semble être le but poursuivi par l’AFP. Incriminer Simone Ehivet Gbagbo en tirant sur la corde déjà raide de l’ethno-tribalo-religieuse et des crimes sélectifs. Conséquences??? La réconciliation semble impossible dans ce pays pille et expose aux djihadistes.

Parallèlement, cette agence de propagande est muette sur Dominique Ouattara. Pourtant, elle avait promis qu’ils prendront le pouvoir son mari et elle, même dans le sang. “Même s’il doit y avoir 100 000 morts nous prendrons le pouvoir” confiait-elle à une de ses amies, confidence mise sur le marché par le journaliste Jules Perrin, anciennement, activiste du rdr.

Les dérives de l’AFP contre Simone Ehivet Gbagbo ne vieillissent pas au fil des ans, dans son article, ''Le squelette exhumé en Côte d'Ivoire n'est pas celui du journaliste Guy-André Kieffer du 13 Janvier 2012, elle écrivait, “Si le mystère de la disparition de Guy-André Kieffer demeure… de l'avis de tous, l’enquête a nettement progressé depuis la chute en Avril 2011 de l'ex-président Ivoirien Laurent Gbagbo.'' Un non-dit accusateur qui rend responsable le système Gbagbo d’avoir bloqué les investigations sur la mort de Kieffer. Dans ce papier, elle tente d’installer Simone Ehivet Gbagbo au cœur du crime: ''C'est avec le beau-frère de cette dernière, Michel Legré, que Guy-André Kieffer avait rendez-vous le jour où il a disparu.'' Comprendre entre les lignes que Michel Legré serait l’appât utilisé par Simone Ehivet Gbagbo pour piéger Guy-André Kieffer.

Dans sa publication en date du 22 Novembre 2012 intitulée ''La cpi réclame Simone Ehivet Gbagbo, un an après le transfèrement de son mari Laurent,'' l’AFP utilisa des extraits qu’elle attribue à la cpi, pour tenter de convaincre que la place de Simone Ehivet Gbagbo est aux côtés de son époux à la cpi, puisque celle-ci serait la sœur siamoise de Laurent, son ''alter ego''.&nbsp; ''Simone Ehivet Gbagbo était idéologiquement et professionnellement très proche de son mari…Bien que n'étant pas élue, elle se comportait en alter ego de son mari, en exerçant le pouvoir de prendre des décisions d'État.” Quelles décisions??? Elles ne sont pas signifiées. Mais c’est suffisant pour intoxiquer les esprits ténébreux.

Un an plutard, le 21 Septembre 2013,l’AFP dans ''La Côte d'Ivoire refuse de transférer Simone Ehivet Gbagbo devant la cpi'' écrit, ''la surnommée la ''dame de fer'',&nbsp; elle a été autant respectée pour son parcours dans l'opposition que crainte pour son rôle de ''présidente'' à poigne, souvent accusée d'être liée aux ''escadrons de la mort'' contre les partisans d'Alassane Ouattara, désormais au pouvoir, qu'elle a toujours honni.” Une dépêche à titre-chercheur, faite de monstruosité sémantique avec des mots selects comme “‘présidente’ à poigne,” ou liée aux “‘escadrons de la mort’ contre les partisans d'Alassane Ouattara” qui vise comme toujours à établir la responsabilité non-justifiée de Simone Ehivet Gbagbo dans le drame ivoirien pourtant initié par la France.

Poursuivant, l’AFP titre, ''L'ex-dame de fer de Côte d'Ivoire, Simone Ehivet Gbagbo, face à la justice.'' C’est avec cet intitulé du 26 Décembre 2014 qu’elle tente de crucifierSimone Ehivet Gbagbo,Comme dans la plupart de ses dépêches qui sont du ''copier-coller'' avec une, deux ou quelques nouvelles lignes incriminantes, l’AFP recopie un pan entier de sa dépêche du 21 Septembre 2013. ''Elle a été autant respectée pour son militantisme que crainte pour son rôle de ''présidente à poigne'', souvent accusée d'être liée aux ''escadrons de la mort'' contre les partisans d'Alassane Ouattara.'' Une manœuvre insidieuse pour faire admettre aux non-initiés par la répétition leur vérité, celle d’une Simone Ehivet Gbagbo superwoman criminelle.

Ce papier du 26 Décembre réduit l’engagement de cette combattante à la défense de son époux et non du pays, une méconnaissance voulue de la bataille de cette femme politique pour la souveraineté de son pays. Cet extrait de la honte dit, ''lorsqu'éclate la rébellion de 2002, Simone Ehivet Gbagbo défend son mari.'' Et sera selon cette agence de propagande, celle qui aura obstrué les accords de paix. ''Elle sera plus ou moins publiquement hostile aux accords de paix successifs.'' Pourtant, il n’est de secret pour personne que c’est le ''diable'' Sarkozy, parrain avec Compaoré des crimes perpétrés en Côte d’Ivoire, qui ont utilisé le “bandit” Ouattara pour biaiser tous les accords de paix.

Reprenant en date du 10 Mars 2015 l’un de ses extraits de base dans l’analyse du coup d’Etat français en Côte d’Ivoire dans son papier ''Simone Ehivet Gbagbo condamnée à 20 ans de prison'',&nbsp; l’AFP y apporte un mot nouveau; ''clivant'' qui l’associe à un personnage qui désunit, divise, dissocie, démembre,…''L'ancienne première dame, 65 ans, est un personnage politique très clivant en Côte d'Ivoire. Elle a autant été respectée pour son parcours dans l'opposition que redoutée dans son rôle de ''présidente à poigne'', souvent accusée d'être liée aux ''escadrons de la mort'' contre les partisans d'Alassane Ouattara,” la récitation est permanente.

Alors que la Première dame Simone Ehivet Gbagbo est en procès, l’AFPdans son delirium écrit, ''la crise qui a fait plus de 3.000 morts en cinq mois a été provoquée par le refus de M. Gbagbo de reconnaître la victoire de son rival Alassane Ouattara à la présidentielle de novembre 2010'' dans sa dépêche ''Côte d’Ivoire: des ONG parties civiles refusent de participer au procès de Simone Ehivet Gbagbo le Lundi 30 Mai 2016.'' Cette incantation de l’AFP se retrouve dans le contenu ou à la fin de ses dépêches sur la Côte d’Ivoire depuis Avril 2011. Et repris dans leur rôle par les media de la corporation des propagandistes occidentaux et Africains suivistes.

Ces mots ne sont pas innocents. Leur choix traduit un jugement de valeur permanent qui témoigne d’une volonté de liquider politiquement Simone Ehivet Gbagbo, en apportant une opinion personnelle sur les faits présentés. Un acharnement perpétuel injustifié, sinon que cette résistante ''est une des victimes les plus emblématiques du sexime y compris du sexisme des femmes contre les femmes, la plus grande réussite de la domination masculine et du racisme en politique.'' Comme le développe le journaliste Théophile Kouamouo dans son papier ''Simone Ehivet Gbagbo qu’on diabolise tant, y compris par son propre camp.'' La haine envers cette battante s’explique aussi parce qu'en tant que femme, elle est sortie du moule occidental de ce que la femme Africaine devrait être, en ''défendant ouvertement ses positions, considérées comme radicales, alors que les femmes, les mères, doivent rester en retrait et prôner ''l'apaisement'' en gros le défaitisme et le fatalisme'' , informe Kouamouo.

Leçon de la résistance ehivetienne

Jusqu’à preuve du contraire, Simone Ehivet Gbagbo ne faiblit pas, elle est dans son rôle, celui de la souverainiste. L’AFP dans le sien, celui de magnifier les criminels, celui de donner plus d’importance semble-t-il aux bourreaux qu’aux victimes. L’assassin est alors crédité d’un permis de tuer. Cette confusion à dessein entre victimes et meurtriers montre que, pour des raisons géostratégiques, mais aussi partout où la France peut humer l’odeur du pétrole, la saveur du cacao,…et autres bonnes senteurs qui excitent ses envies, les journaleux-espions français de ce journal gouvernemental doivent embrasser la terreur qui permet à l’occident de piller les ressources Africaines.

Sur ce style éditorial, l’AFP fait peut-être bien son travail de propagande. Mais si ''Partout, l'efficacité des manipulateurs de symboles postule l'existence d'une vaste classe moyenne apathique et apolitique'',&nbsp; selon Epictète, l’Ivoirien n’est plus comme le disait Vaclav Havel, cet homme ''Ballotté, manipulé, automatisé, (qui avait perdu) peu à peu la notion de son être.'' Le ''good old time'' de l’Ivoirien peureux, brimade, manipulable, insultable, méprisable, et tuable, c’est fini. On ne pourra plus à partir des discours de propagande lui arracher ses enfants, violer ses femmes, épouses, et filles, contre leur gré. La résistance de Simone Ehivet Gbagbo a servi à cela.

Aussi sa bataille politique a servi à distinguer les journalistes ennemis et agents de l’étranger des journalistes patriotes. La ségrégation analytique, la perversité sémantique des récits de l’AFPqui détournent les faits de leur contexte, donc de la réalité et de la vérité, et qui reversent la pyramide morale du jugement, ne pourront plus le piéger.

Instruit par la leçon de la résistance ehivetienne, l’Ivoirien combattant, même ceux qui se sont exportés en Côte d’Ivoire, bien que malhonnêtes pour certains la majorité malheureusement , savent qu’en analysant les facettes du coup d’Etat de 2011 à partir de son essence en 2002, il y a tous les ingrédients pour expliquer et prouver que les crimes attribués à Simone Ehivet Gbagbo et à son époux sont nés ''du refus de M. Alassane Dramane Ouattara, aidé des autorités françaises, de respecter la Constitution Ivoirienne” et exacerbée, comme l’indique les panafricanistes dont Simone Ehivet Gbagbo, et tous les Hommes de bon sens ''par l’ingérence de la France dans le débat Ivoirien par le biais de son président Nicolas Sarkozy.''

Une contribution de Feumba Samen


Simone Ehivet Gbagbo, digne combattante de la liberte, de la dignite de l'Homme Africain, femme de convictions et d'integrite.

https://scontent-lga3-1.xx.fbcdn.net/v/ ... p#/b#ed_cl#

Publié : avr. 01, 17 6:45 am
par Eburneenne 3
Au delà de la politique et du syndicalisme, madame Simone Ehivet Gbagbo est une brillante universitaire et une intellectuelle accomplie, jugez-en par vous-même:

Elle a fait ses études primaires à Moossou, Bouaké et Béoumi, pour le secondaire elle a fait le lycée classique d'Abidjan en option lettres modernes, et y obtint le baccalauréat en 1970. Trois années plus tard, elle décrocha une licence en lettres modernes à l'université d'Abidjan, et étudia à l'École Normale Supérieure. Elle finit major de sa promotion du concours du CAPES, qui donne accès à la carrière de professeur de l'enseignement secondaire. En France où elle alla pour continuer ses études, c'est à l'université Paris-XIII, qu'elle passa une maîtrise de lettres modernes option littérature orale en 1976. De retour en Afrique au Sénégal, à l'université de Dakar, elle obtint son DEA en 1981 et ensuite un doctorat sur « le langage tambouriné chez les Abourés ». En 1984, elle a obtenu en plus une licence en linguistique africaine à l'université d'Abidjan.

Elle est historienne, Docteur 3eme cycle en littérature orale, chercheur en linguistique appliquée,&nbsp; en plus de l'anglais et l'espagnol, elle parle couramment six langues ivoiriennes dont le Bhété, le Bambara, l'Agni, le Baoulé (...), langues pour lesquelles elle a été enseignante à l'université d'Abidjan.https://www.facebook.com/plugins/post.p ... ;width=500" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" frameborder="0" height="503" width="500">

Publié : avr. 02, 17 10:42 pm
par Eburneenne 3
"En lavant du propre avec un savon nauseeux, vous vous etes salis."
Les couleurs et leurs symboliques sont les fruits de la culture de la langue utilisée.
Pour le colon ''blanchir'', c'est purifier. Heureusement que là, il ne s'agit pas de mettre des produits decapants à la jolie peau d'ébène de la Première dame Simone Ehivet Gbagbo. Je n'aime pas trop le mot "blanchir" dans ce contexte mais je ne peux faire la fine bouche lorsqu'on parle d'une libération que nous avons appelée de tous nos vœux. Il s'agit de blanchir quoi??? L'honneur de Simone Ehivet Gbagbo ???
Détrompez-vous car elle n'a jamais rien perdu de tel. On vous a demandé de lui rendre ce que vous lui avez pris et non de laver un linge propre, ce qu'elle a perdu, c'est sa liberté, son travail et tout ce qui en découle, ses proches...
Son honneur est resté intact et sa dignité toujours impeccable.
Entre temps, une louve Dominique Folloroux Ouattara est dans la bergerie...Forcément!!!
Le coach
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Publié : avr. 05, 17 4:05 am
par Eburneenne 3

La juridiction internationale va donc vraisemblablement devoir abandonner complètement la procédure contre Simone Ehivet Gbagbo, Premiere dame legitime et legale de la Cote d'Ivoire

Simone Ehivet Gbagbo, épouse du President Gbagbo, a été acquittée dans un procès ouvert à Abidjan pour ''crime contre l’humanité'',et dont le déroulement a été très critiqué. Avec ce verdict, le regime d’Alassane Dramane Ouattara envoie un message à la cour pénale internationale, qui s’intéresserait désormais aux alliés de DAO rebelle 1er volmentu.

&nbsp; On ne connaîtra pas les raisons de l’acquittement ce 28 mars 2017, de&nbsp; Simone Ehivet Gbagbo, poursuivie pour ''crime contre l’humanité'' par la justice dramanienne a la solde de l'oligarchie imperialiste. Néanmoins, l’histoire retiendra que le procès de l’épouse du President Gbagbo, débuté à Abidjan en mai 2016, s’est déroulé loin des standards d’une justice normale. Dès le début, la procédure, portant sur des faits présumés commis pendant la crise postélectorale de 2010-2011, est apparue très mal engagée.

&nbsp;Le procès n’était d’ailleurs pas encore ouvert que des organisations de défense des droits de l’homme, parties civiles, se retiraient, invoquant une ''organisation à la va-vite''. Quant à la défense, elle parlait d’un ''procès politique'', d’une ''instruction bâclée'' et s’interrogeait sur le choix du jury, composé ''à 95% des personnes issues du nord'' de la Côte d’Ivoire, alors que Simone Ehivet Gbagbo aurait ete accusée de ''meurtres de civils originaires, justement, de cette zone''. &nbsp;Par la suite, les audiences ont été marquées par de nombreux reports, des témoignages farfelus, une absence patente de preuves et des tensions entre la défense, les juges et l’accusation. Les

avocats de Simone Ehivet Gbagbo, à qui ses adversaires ont prêté une forte influence sur son mari, ont demandé en vain que soient entendus plusieurs acteurs clés de l’époque concernée, dont Guillaume Soro, chef de la rébellion, devenu premier ministre et ministre de la défense d’Alassane Dramane Ouattara en 2011. Leurs demandes ont toutes été rejetées. Or, comment juger, ''Comment condamner sans entendre les acteurs de la crise sur des événements précis qui ont fait l’objet de la procédure ???'', commente aujourd’hui Habiba Touré, l’un des avocats de Simone Ehivet Gbagbo.

&nbsp;&nbsp; En signe de protestations, l’''accusée'', 67 ans, a décidé fin octobre 2016 de ne plus comparaître devant les juges. Ses conseils ontdécidé de se retirer eus aussi de la procédure. Ceux qui les ont remplacés, des avocats commis d’office, ont quelques semaines plus tard jeté l’éponge à leur tour, dénonçant de ''nombreuses failles'' dans la procédure et réclamant une reprise totale du procès, ce qui leur a été refusé. Dans un contexte général de ''justice des vaiqueurs'', il ne faisait guère de doute pour beaucoup d’observateurs que les jeux étaientfaits d’avance et que Simone Ehivet Gbagbo serait condamnée.

&nbsp;Le procureur a requis contre elle une peine d’emprisonnement à vie. En décidant de la déclarer ''non coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité'', les jurés ont donc déjoué tous les pronostics.&nbsp; ''Je salue la décision courageuse qui a été rendue, mais je persiste à dire que les conditions du procès n’étaient pas à l’avantage''de Simone Ehivet Gbagbo, a dit son avocat principal, Rodrigue Dadjié,à l’agence de presse Alerte Info. &nbsp;Des organisations internationales de défense des droits de l’homme parlent aujourd’hui ''d’occasion ratée'' de rendre la justice, regrettant que le procès ait été aussi mal mené et ait pas permis de déterminer le rôle de Simone Ehivet Gbagbo pendant les événements de 2011. Les parachutes de la communaute criminelle internationale, eux, voient l’affaire sous un tout autre angle. ''Le gouvernement avait promis un procès équitable et transparent. la justice démontre ici son indépendance. Heureux de cet aboutissement'', a twittéBruno Koné, ministre de la communication, de l’économie numérique et de la poste et par ailleurs gendre d' Alassane Dramane Ouattara.

Il est difficile de ne pas voir dans cette déclaration un message adressé directement à la cour pénale internationale (cpi), voire un pied de nez. La cpi était en effet concernée de près par ce procès: elle a elle-même engagée depuis plusieurs années une procédure contre la Première dame ivoirienne Simone Ehivet Gbagbo. Depuis le 22 novembre 2012, date de l’émission d’un mandat d’arrêt, la cpi demande a Alassane Dramane Ouattara de la transférer à la Haye, afin qu’elle y soit jugée pour ''crime contre l’humanité''.

La procureure de la cpi&nbsp; accuse Simone Ehivet Gbagbo d’avoir participé au ''plan commun'' qu’aurait conçu le President Gbagbo pour conserver le pouvoir. Aucune trace de l’existence de ce plan n’a cependant été apportée au cours du procès du President Gbagbo, ouvert il y a plus d’un an à La Haye. Bien qu’ayant livré le President Gbagbo en novembre 2011 et son ministre Charles Blé Goudé en mars 2014 à la cpi, Alassane Dramane Ouattara a toujours refusé que&nbsp; Simone Ehivet Gbagbo rejoigne le centre pénitencier de Scheveningen. &nbsp;Jusqu'il y a peu, la cpi était ''légitime'' pour poursuivre sa procédure contre&nbsp; Simone Ehivet Gbagbo. Selon le principe de complémentarité, elle intervient si la justice d’un etat n’est pas en capacité ou n’a pas la volonté de le faire elle-même: c’était le cas en Côte d’Ivoire, notamment parce que les crimes contre l’humanité n’étaient pas inscrits dans son code pénal. Mais ces dernières années, Alassane Dramane Ouattara s’est employé à faire ce qu’il fallait pour écarter peu à peu la cpi. Il a d’abord fait entrer, mi-2015, deux nouvelles incriminations dans le code pénal: celle de ''crime de guerre'' et celle de ''crime contre l’humanité''. Puis il a ouvert le procès de Simone Ehivet Gbagbo pour les mêmes faits que ceux retenus par la cpi.

Guillaume Soro, nouvelle cible de la cpi ??? &nbsp;Le procès ayant été mené à son terme, Alassane Dramane Ouattara peut affirmer que la Côte d’Ivoire dispose d’une justice fonctionnelle. Quant au verdict, il permet à Abidjan d’arguer que, contrairement à ce qui a été dit jusque-là, la justice peut rendre des décisions de manière indépendante et qui vont à l’encontre des demandes du ministère public. Ce procès rend surtout caduque l’action de la cpi, puisque cette dernière ne peut pas juger une personne déjà jugée pour les mêmes faits par une autre juridiction.L’article 20 du statut de Rome, traité fondateur de la cpi, pose certes quelques restrictions: pour que la cpi passe outre le jugement prononcé par la justice dramanienne, il faudrait prouver que la procédure qu’elle a suivie ''avait pour but de soustraire'' Simone Ehivet Gbagbo ''à sa responsabilité pénale pour des crimes relevant de la compétence de la cour'' , ou bien qu’elle n’a pas été menée ''de manière indépendante ou impartiale, dans le respect des garanties d’un procès équitable prévues par le droit international.''

&nbsp;Cependant, il apparaît très peu probable que la cpi tente de faire reconnaître l’une de ses restrictions, étant donné les bonnes
relations qu’entretiennent la Côte d’Ivoire et la France, etat influent à la cpi. La juridiction internationale va donc vraisemblablement
devoir abandonner complètement la procédure contre Simone Ehivet Gbagbo. Alassane Dramane Ouattara avait lui-même donné une idée de la tournure qu’allaient prendre les rapports entre son pays et la cpi, lorsqu’il a déclaré début 2016 qu’il ''n’enverrait plus d’Ivoiriens'' à la cpi.

Simone Ehivet Gbagbo, Premiere dame legitime et legale de la Cote d'Ivoire

http://p6.storage.canalblog.com/67/73/1 ... 366679.jpg" alt="trois-jours-avec-simone-gbagbo" class="nonealign width600" border="0">


Publié : avr. 06, 17 5:01 am
par Eburneenne 3
LE SOURIRE CHALEUREUX ET SINCERE DE LA PREMIERE DAME SIMONE EHIVET GBAGBO

On l’a vue rayonnante, affinée et souriante
Malgré la peine en son âme persécutée
Face à ses bourreaux décidés à la damner
Le visage plein de douceurs pétillantes.

Elle est chargée de tous les grands crimes d’Hitler
Et elle croule sous le poids des calomnies
On la tue du fiel de la haine, en comédies
Mais elle reste souriante aux tortionnaires

C’est pour elle, une participation en Christ
Aux tourments de son peuple en attente d’agir
Ce peuple qui supporte soumis, son martyr
Elle sourit pour vaincre mal et antéchrist.

Les années noires continuent d’envelopper
De leurs manteaux ensanglantés notre Nation
Le désespoir est grand qui orne les maisons
La vie est écartelée et exaspérée.

Elle porte et vit dans sa chair de mère aimante
Nos malheurs, nos cris âcres, nos lamentations
Nos manques de foi aussi, nos indécisions
Et s’offre pour la Nation, comme hostie vivante.

C’est pourquoi, aux inquisiteurs impénitents
Elle sourit, elle chante, elle magnifie
Son Dieu, la Vie et son Peuple et point ne gémit
Tout en elle, est poème et cantique, tendrement.

Elle croit en notre proche libération
Mais le prix à payer, c’est de pardonner
Aux violents, et d’un amour divin, les aimer.
O comme elle est grande, limpide, suave, sa mission !!!

Ce sourire, chaleureux, jaillit, tendre, en toute aisance.
Il trouble et effraie les méchants et les impies
Dont l’avenir, à chaque couchant, s’obscurcit.
Quand il rassure et réchauffe notre espérance.

Oui !!! Pour que le mal n’ait point emprise sur soi
Et pour vaincre les douleurs de notre bas-monde
Il ne faut point montrer un visage de tombe.
Tout mal se désarme face aux âmes qui croient.

Par ce sourire, elle galvanise et ranime
Comme pour dire : « Ne soyez pas remplis de peur !!!
Le dragon joue ces derniers moments de terreur
Ses feux brûlent, mais la Nation vivra sublime »

O dame digne de contemplation !!! O mère !!!
Qu’elle est admirable dans son combat pour nous !!!
Combat spirituel pour ses fils toujours debout
Qui défendent la Patrie livrée aux enfers.

Allons donc !!! Prenons courage !!! Levons-nous !!! Marchons !!!
Allons rejoindre les rangs des fières légions
Qui, oints de ce sourire de libération
Vont marquer la rue avec ses vrais compagnons.

Lazare KOFFI KOFFI.
(Extrait de IL EST L'HEURE, à paraître)https://www.facebook.com/plugins/post.p ... ;width=500" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" frameborder="0" height="629" width="500">

Publié : avr. 06, 17 5:23 am
par Eburneenne 3
Simone Ehivet Gbagbo, professeure à l'université, député, cadre du Fpi, cadre Ivoirienne et Première dame est emprisonnée en Côte d'Ivoire par les parachutes de la communaute criminelle internationale, pendant que la racaille génocidaire chevronnée en rébellion et en assassinats circule librement et est promue.
Alors que sa première condamnation était sans mandat de dépôt, la dernière acquisition devrait voir sa liberation.
Libérez Simone Ehivet Gbagbo, elle a été blanchie!!!https://www.facebook.com/plugins/post.p ... ;width=500" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" frameborder="0" height="458" width="500">

Publié : avr. 08, 17 3:08 am
par Eburneenne 3
SIMONE EHIVET GBAGBO, MON MODÈLE DE COMBAT !!!

DE TOI, JE L'AI APPRIS ET COMPRIS!!!

J'ai compris qu'une vie au combat, ne se mesure pas aux projets que l'on se fixe ou aux idées que l'on se fait de soi-même, mais à la manière avec laquelle on fait face aux circonstances qui nous sont imposées. Participer à la résistance, affronter la souffrance, réorienter ma vie pour tenir compte de mon nouvel état spirituel, moral, physique, de l'environnement politique très hostile....Chercher à être à la hauteur, être digne de confiance, intègre , constante et surtout rester attache à mes principes et aux valeurs du socialisme.

MERCI FEMME D'HONNEUR !!!
A BIENTÔT!!!

Cisse Mariam Marie France
La digne fille de Simonehttps://www.facebook.com/plugins/post.p ... ;width=500" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" frameborder="0" height="328" width="500">