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L'accaparement des terres Africaines

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L'accaparement des terres Africaines

Message par I Love Jesus » mai 29, 16 9:24 pm

Sécurité alimentaire: L'accaparement des terres Africaines par de grands groupes étrangers.

L’Afrique doit absolument élaborer une gouvernance foncière pour éviter l’accaparement des terres par de grands groupes étrangers qui génère pauvreté et conflits, ont affirmé à l’AFP à Abidjan divers experts en politique foncière régionale.
La cession massive des terres à des investisseurs nationaux ou étrangers est apparu en Afrique au sud du Sahara après la crise alimentaire de 2008, explique Francis NGang, secrétaire général de l’Institut africain pour le développement économique et social (Inades).
Alors que l’Afrique est, selon la Banque mondiale, le continent au plus grand potentiel agricole inexploité, des millions d’hectares de terres ont ainsi été cédés, au détriment des populations locales, selon l’Inades, une institution panafricaine spécialisée dans les questions foncières.
En 2013, les dix plus importants acquéreurs de terres en Afrique étaient (en million d’hectares): les Émirats Arabes Unis (1,9), l’Inde (1,8), le Royaume-Uni (1,5), les USA (1,4), l’Afrique du Sud (1,3), l’Italie (0,6), l’Allemagne (0,5), le Soudan (0,5), l’Éthiopie (0,4) et le Portugal (0,4).
Pour la seule Afrique de l’Ouest, 2,31 millions d’hectares ont été acquis entre 2000 et 2012 au Bénin, Burkina, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo, selon l’étude "Touche pas à ma terre, c’est ma vie", réalisée par l’Inades.
"C’est un phénomène qui a engendré beaucoup d’injustice et de violence contre les communautés paysannes", a expliqué à l’AFP le Malien Ibrahima Coulibaly, vice-président du Réseau des organisations paysannes et de producteurs de l’Afrique de l’ouest (Ropa), lors d’une conférence de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) pour l’Afrique qui s’est tenue début avril à Abidjan.
Au Mali, "les villages de Sanamandougou et Sao ont été acquis par un investisseur, qui mobilisait chaque fois l’armée pour aller bastonner les populations" qui refusaient de partir, explique le vice-président du Ropa.
Gérée par l’Office du Niger, tout le delta central du Niger au Mali, "une zone immense, très favorable à l’agriculture irriguée, a été ciblée par les investisseurs", souligne Ibrahima Coulibaly.
En Côte d’Ivoire, dans le département d’Aboisso (est) où est installée depuis 2007 Dekel-Oil Côte d’Ivoire Ltd, - filiale du groupe israélien Rina Group qui y possède des plantations de palmier à huile - la majorité des populations interrogées (61%) par l’Inades "affirme qu’elle n’a pas participé aux consultations pour la cession de leurs terres".
Les autorités administratives et coutumières leur ont seulement fait miroiter "les avantages liés à l’installation" de cette multinationale "qui voulait travailler avec les planteurs de la région pour améliorer leur vie".
Et le phénomène "prend de l’ampleur, surtout avec la politique des gouvernements à rechercher sans cesse de nouveaux investisseurs dans nos pays", assure M. NGang.
Au Tchad, presque 60% des espaces fertiles au bord des fleuves Chari et Logon, autour du lac Tchad et du lac Fitiri, sont désormais la propriété d’investisseurs qui ont chassé les agriculteurs et les éleveurs, selon Ahmat Adoum Djibrine, président de la Confédération nationale des organisations des éleveurs du Tchad.
Sur les bords du lac Fitiri où vivent des milliers d’animaux, l’Etat a mis en oeuvre des projets agricoles au détriment de l’élevage et de la pêche.
Les grands perdants de ces cessions massives sont les femmes, premières
productrices de produits vivriers qui ne trouvent plus de terres cultivables, selon l’Inades.

Suite :
http://www.civox.net/Securite-alimentai ... a7473.html
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Eve
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Re: L'accaparement des terres Africaines

Message par Eve » mai 29, 16 9:32 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>I Love Jesus</b>:</font>
 
2,31 millions d’hectares ont été acquis entre 2000 et 2012 au Bénin, Burkina, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo

-------------------------------

C'est votre Gbagbo là, pendant 10 ans!!!

Parfois vous feriez mieux de vous taire !



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Re:L'accaparement des terres Africaines

Message par I Love Jesus » juil. 10, 16 1:10 pm

Comment les agro-impérialistes sont en train de créer le terrorisme alimentaire en Afrique

L’Afrique, notre continent possède un quart des terres fertiles mondiales, il concentre 41% des transactions foncières sur un total de 1515 transactions à travers le monde selon le rapport de l’ONG ActionAid International, datant de fin mai 2014. Selon l’ONG, c’est un véritable hold-up sur les terres par les multinationales. Le continent est devenu la nouvelle attraction des multinationales, des fonds de pensions et des grands groupes agro-alimentaires qui ont acquis, avec les complicités des gouvernements locaux, des millions d’hectares de terres arables. Nous présentons l’ampleur du phénomène et le terrorisme alimentaire que cela engendre.

L’ampleur du phénomène

Il est très difficile d’estimer précisément l’ampleur du phénomène pour plusieurs raisons : les contrats et les transactions foncières sont rarement publics. Mais quelques statistiques existent. La Copagen (une coalition d’organisations paysannes et de la société civile présente dans neuf pays africains) a mené une étude de plusieurs années sur les accaparements dans neuf pays : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo. Les conclusions sont alarmantes.

Alors qu’on estimait le phénomène à un million d’hectares à l’échelle du continent, au cours des dix dernières années, ce sont 2.313.400 d’hectares de terres qui ont été accaparés. A ce rythme, dans moins d’une décennie, le Burkina Faso par exemple n’aurait plus de terres pour les petits paysans.

Quelles sont les causes de ces accaparements ?

Plusieurs causes peuvent expliquer l’accaparement des terres africaines par les multinationales. Nous évoquons ici seulement deux causes.

Premièrement, l’absence d’actes de possessions. En effet, la saisie des terres africaines a été facilitée par l’absence des actes de possessions que ces paysans n’ont jamais pu établir ou obtenir. En Afrique subsaharienne, seulement 10% des terres arables sont inscrites aux registres officiels.

Deuxièmement, la complicité des gouvernants. Sous-couvert de relance de l’agriculture pour éradiquer la famine qui ravage régulièrement des millions de personnes, les gouvernements locaux ont cédé presque à un prix symbolique des centaines de milliers d’hectares aux fabricants de biocarburants. Les pouvoirs publics dans pays africains ont une responsabilité dans ce phénomène, soit parce qu’ils cèdent eux-mêmes des terres ou qu’ils en facilitent l’accès à certains acteurs dans un contexte législatif faible. Les émeutes de la faim qui ont secoué Maputo en 2010 n’ont pas empêché le gouvernement à céder 6,6 millions d’hectares aux Etats-Unis et à des compagnies étrangères. Pour rappel, le Mozambique dispose de 36 millions d’hectares de terres arables, soit 46% de son territoire, qui sont propres à la culture, et dont seulement 10% sont exploitées.

Suite :
http://eburnienews.net/comment-les-agro ... n-afrique/
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Re:L'accaparement des terres Africaines

Message par sam kehi,le Guere » juil. 10, 16 3:42 pm

Fidel Castro en avait parle' quand des compagnies ont introduit l' essence fabriquee a ' partir du ma-i-s. Une autre extermination des africains se prepare.
La vulnerabilite' de l'Afrique est aussi due au fait que de veritables chefs de gangs accedent a' la magistrature supreme en Europe.Ces derniers utilisent leurs armees pour attaquer nos pays comme des bandits attaquent une banque.



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Re:L'accaparement des terres Africaines

Message par I Love Jesus » sept. 05, 16 6:25 pm

Le troisième point juridique soulevé par la coalition rebelle à Linas Marcoussis se rapporte au foncier. Les rebelles avaient demandé la révision de la loi 98-750 du 23 décembre 1998 relative au foncier rural pour ouvrir le droit de propriété foncier aux personnes étrangères et aux personnes morales. Sur la question, la résistance des députés ivoiriens avait fait échec à cette tentative. Les légères modifications qui ont été apportées n’ont pas apparemment satisfait les commanditaires de la guerre ivoirienne. Ouattara lui-même a essayé d’apporter des amendements à cette loi une fois au pouvoir sans y arriver. En effet, le lien que cette loi établit entre la nationalité ivoirienne et la propriété foncière et l’exclusion de droit des personnes morales bloquent les ambitions des amis de Ouattara qui ont financé son accession au pouvoir. Il faut savoir que les prochaines décennies jusqu’en 2040 sont décisives en matière foncière.
[...]
Mais Ouattara aimerait bien faire sauter la disposition qui établit un lien entre la nationalité ivoirienne et la propriété foncière en milieu rural. L’on se rappelle comment, à Marcoussis, la coalition rebelle, qui ignore tout des enjeux de la guerre qu’elle a livrée au pays par procuration, a insisté pour que l’on élargisse la propriété foncière rurale aux personnes morales et aux personnes non nationales.
Le plan d’actions susvisé est la suite logique d’une politique de conquête des terres pour les multinationales agro-industrielles, notamment américaines.
[...]
Mais en Afrique, il y a un gros problème de législation sur les terres. La législation n’est pas suffisamment rassurante pour les investisseurs. Il faut pacifier la « jungle africaine » en y créant un droit foncier qui soit en adéquation avec les ambitions des grands intérêts des multinationales.
Toutes les études, pendant les années 90, préparent l’esprit à cette législation sur mesure. Elles sont effectivement aidées par l’incohérence à la fois du droit foncier et des choix politiques qui l’accompagnent. Pour réussir cette pénétration des « capitaux de la jungle » en Afrique, Comme toujours, la Banque Mondiale joue les éclaireurs. Elle vend aux forceps aux gouvernements africains un vaste programme de modernisation du foncier. Au Burkina, en Côte d’Ivoire, au Mali, au Bénin, etc. des programmes sont élaborés à cette fin.
En Côte d’Ivoire, le plan est nommé le plan foncier rural (PFR) et il comprend deux composantes. Une composante technique et une composante législative. C’est dans le cadre du déroulement de la composante législative, le gouvernement du Président Bédié a fait voter une loi sur le foncier rural en 1998. Le projet, dans ces termes, repose la problématique des terrains vacants sans maîtres. En fait, l’objectif est de permettre à l’Etat de se constituer un vaste domaine, qu’il serait, par la suite, contraint de vendre. Evidemment, les premiers acheteurs seraient les multinationales qui sont à l’affût. Enfin, ayant coincé les paysans sur des petites portions de terres, ils seraient contraints, pour survivre, de vendre également leurs parcelles aux multinationales. Les dernières pièces du puzzle réunies, le piège latino-américain se refermerait sur les populations paysannes ivoiriennes. La preuve de ce que j’avance est que depuis 2012, le gouvernement ivoirien tente de lancer un vaste programme de riziculture au nord de la Côte d’Ivoire avec l’entreprise française « Dreyfus ». Cette dernière exige l’appropriation des terres et l’établissement, en son nom, de titres fonciers sur des milliers d’hectares. Ce qui ne peut se faire dans l’état actuel de la législation qu’avec l’appui des paysans, propriétaire des terres. Ces derniers s’y sont opposés et le gouvernement a reculé.
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Re:L'accaparement des terres Africaines

Message par I Love Jesus » sept. 05, 16 6:35 pm

Mais apparemment c’est pour mieux sauter. Il suffit d’inclure une disposition constitutionnelle qui confère la propriété immobilière à toutes les personnes quelle que soit leur nationalité et leur forme juridique pour que le tout soit régler pour le gouvernement. La disposition de la loi 98-750 du 23 décembre 98 relative au foncier rural qui donne l’exclusivité de la propriété des terres aux nationaux perdrait son effectivité puisqu’elle sera contraire à la constitution. Quand nous disons que nous sommes en guerre contre un système, les gens pensent que nous versons dans l’excès. La guerre livrée à la Côte d’Ivoire par la coalition internationale a des dessous énormes insoupçonnés que mêmes les exécutants les plus zélés ne maîtrisent pas. Ce n’est ni pour les Ivoiriens, ni pour les Burkinabés que Ouattara s’active à opérer une réforme agraire douce sous le couvert d’une réforme constitutionnelle. C’est bien pour les multinationales. C’est pourquoi, nous ne cessons de dire que notre salut se trouve dans une véritable révolution qui va opérer la rupture. Le chef de l’Etat agit pour ses mandants, nous n’avons d’autres choix que de nous battre pour notre survie en tant que peuple. Ou nous nous battons, ou nous périssons et dans ce péril, il n’y aura ni Ivoirien du Nord, ni Ivoirien du Sud, ni Burkinabé, ni Guinéen. Nos parents vont devenir de simples ouvriers agricoles sur leurs terres. Nous rentrons dans la recolonisation.
[...]
La question des terres pour les 20 prochaines années fait trembler les fondements de l’ultra-libéralisme dans des pays comme la France. Dans ce pays, la loi prise le 13 octobre 2014 encadrer la gestion et la disposition des terres agricoles vient de connaître une deuxième modification présentée par le gouvernement français et votée par l’Assemblée nationale le 11 févier 2016. L’objet de cette révision de cette loi, deux ans seulement après son adoption, est de protéger les terres françaises contre leur accaparement par des capitaux étrangers, notamment les capitaux chinois qui s’y font de plus en plus menaçants. C’est à donc une question vitale qui mérite une mobilisation permanente de la nation que Ouattara s’attaque.
En contrepartie de la spoliation de leurs terres, Ouattara entend hypnotiser les Chefs coutumiers par un strapontin constitutionnel.
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Re:L'accaparement des terres Africaines

Message par I Love Jesus » sept. 05, 16 6:36 pm

II/ Terres contre reconnaissance constitutionnelle de la chefferie traditionnelle
Le gouvernement ivoirien a conscience que ses premiers adversaires sur son chemin de la conquête des terres rurales restent les propriétaires coutumiers eux-mêmes. En effet, depuis toujours, ces derniers se sont opposés à l’accaparation de leurs terres, d’abord, par l’Etat colonial et ensuite par l’Etat post colonial. En effet, ni le décret du 24 juillet 1906, ni celui du 26 juillet 1932 communément appelés décrets fonciers qui ont instauré le régime de l’immatriculation n’ont réussi à mettre sous éteignoir les droits fonciers coutumiers. Le 22 novembre 1963, l’Assemblée nationale ivoirienne avait voté, à unanimité de ses membres, une loi pour réguler le droit foncier notamment en zone rurale. Cette loi, qui reprenait pour l’essentiel les dispositions du décret de 1932 notamment la notion de terres vacantes sans maitre, avait été combattue et étouffée dans l’œuf par les propriétaires fonciers coutumiers. En effet, ayant compris plus vite que le gouvernement la notion de terres vacantes sans maitre, les populations avaient mis le feu sur toutes les forêts pour bien faire comprendre au gouvernement et à Houphouët qu’aucune parcelle de terre ivoirienne n’est sans maitre. Houphouët, qui avait très vite compris le cours magistral de droit des populations avait suspendu la promulgation de la loi et l’avait faite retourner au parlement pour une seconde lecture. Celle-ci ne se fera jamais. De ce point de vue, la loi 98-750 du 23 décembre 1998, malgré ses quelques faiblesses, consacre la victoire des propriétaires coutumiers dans leur combat contre l’accaparement de leurs terres. Or, il y a une sorte translation entre ceux-ci et la chefferie coutumière. En les regroupant dans un corps constitué de l’Etat, Ouattara nourrit le secret espoir de les enchainer dans des obligations particulières qui annihileraient leurs velléités contestataires sur la question des terres. En effet, devenus membres à part entière du pouvoir d’Etat et participant ainsi à l’exercice de celui-ci, il leur serait très peu loisible de contester les décisions dudit Etat. Le faisant, Ouattara veut prendre les propriétaires fonciers de revers. Il a été ardemment conseillé dans ce sens par certaines officines secrètes qui travaillent pour la promotion de l’ultralibéralisme sur les terres africaines.

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Re:L'accaparement des terres Africaines

Message par I Love Jesus » sept. 11, 16 6:40 pm

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Re:L'accaparement des terres Africaines

Message par I Love Jesus » sept. 13, 16 8:43 pm

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Re:L'accaparement des terres Africaines

Message par PatrioteForEver » sept. 13, 16 9:43 pm

..En effet, ayant compris plus vite que le gouvernement la notion de terres vacantes sans maitre, les populations avaient mis le feu sur toutes les forêts pour bien faire comprendre au gouvernement et à Houphouët qu’aucune parcelle de terre ivoirienne n’est sans maitre...
Plusieurs talkers ont préconisé cette solution pendant la crise



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